Soumis par Omkar le 26 août, 2012 - 11:11
Il ne se passe pas de jours que nous ne menions à l’abattoir les plus purs de nos élans. C’est pourquoi nous éprouvons une telle souffrance au cœur quand, lisant telles phrases jaillies de la main d’un maître, nous les reconnaissons pour nôtres, nous y reconnaissons les tendres pousses dont nous avons étouffé la croissance par manque de foi dans notre propre force, dans nos propres critères de vérité et de beauté