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Il raconte sa mort lors d'un crash en avion

Voici un témoignage d'expérience de mort imminente passionnant à plus d'un titre. D'abord parce que l'homme qui la raconte n'avait aucune préoccupation spirituelle avant de vivre (si l'on peut dire) cette expérience. C'était au contraire une personne toute occuper à jouer avec les distraction de notre monde. Et c'est en faisant joujou qu'il se trouve dans un crash d'avion qui va lui faire vire cette expérience. Ensuite ce qu'il raconte diffère sensiblement d'autres expériences du même type. Pas de tunnel cette fois. Il raconte s'être trouvé dans le monde spirituel "instantanément", et que là-bas il n'y a pas de conscience du temps. Il nous parle d'une lumière comme "dix mille soleils" qui rappelle immanquablement la lumière évoquée dans la Bhagavad Gitâ, et comme la connaissent les yogin. Enfin, récit assez inédit, il nous parle aussi d'un nuage de ténèbres. Bref un récit passionnant, à visionner absolument !

Commentaires

J'ai longtemps pensé qu'il n'y avait rien après..., mais la vie et les expériences que j'ai vécues m'ont montré qu'il en était tout autrement.

On meurt comme on a vécu, c'est à dire que les expériences que nous "vivrons" (vilain mot pour parler de la mort), sont à l'image de notre vie, et puis cessons de parler de mort! Certes, même si nous ne sommes pas des oiseaux de mauvais augure, quand on passe de l'autre côté, on y laisse des plumes!

Prenons cela au pied de la lettre, on y laisse notre peau! Notre enveloppe charnelle, notre corps avec son égo et ses émotions, tout ce qui nous rattache fermement à cette terre nourricière de bienfaits matériels.

Ce qui arrive ensuite n'est pas universel, cela dépend strictement de la vie que nous venons de vivre, alors tous les coups sont permis! Et c'est une affaire strictement intime et personnelle.

Chacun expérimentera "son" passage, les différents récits de NDE n'ont pas vraiment d'intéret, c'est comme de lire la correspondance jaunie que l'on découvre dans un coffre du grenier du défunt, ficellée d'un ruban de satin.

Le passage est une affaire privée, la raconter me laisse perplexe sur leurs buts, Ils ont changé disent-ils, alors pourquoi "raconter"?... n'incitons nous pas le côté morbide occidental et voyeur international de ceux qui sont toujours là? ça n'est pas une très bonne preuve du changement que l'on dit s'être opéré en nous!

L'important n'est donc pas le "récit" mais simplement le fait de "savoir" qu'il y a passage, cela, est déterminant pour ceux qui restent, cela, seulement peut faire réfléchir et donner un signe d'éveil spirituel! Plutôt que d'aller voir ce qui c'est passé pour le passage d'un tel ou d'une telle!

Ne dit-on pas que la curiosité est un vilain défaut?