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Un cinquième des français soupçonnés par leurs proches d'être dans une secte

Selon un sondage IPSOS, commandé par la MIVILUDES en 2011, un cinquième des français seraient soupçonnés par leurs proches d’être dans une secte (victimes de dérive sectaire). Ce genre d'énormité est une des conséquences de 30 années de propagande antisectes. 

Rappelons brièvement que, malgré les discours anxiogènes relayés inlassablement par les médias, malgré les gesticulations (rapports annuels, guides, brochures) de la MIVILUDES sur le sujet, aucun élément probant, étude sociologique, statistique judiciaire ou démonstration scientifique n’est encore venu prouver qu’il existerait un fléau social, un danger véritable, associé aux pratiques et groupes communément désignés comme « sectes » ou soupçonnés de « dérives sectaires ». Rien à ce jour ne vient infirmer l’option prise par le reste du monde (à l’exclusion de la Chine et, dans une moindre mesure, de la Belgique) de ne pas se soucier particulièrement de ces mêmes groupes et pratiques et de les considérer a priori comme inoffensifs. 

La « victime de dérive sectaire », selon les critères communs aujourd’hui en France et selon les définitions antisectes, est une victime de « manipulation mentale », notion sans validation scientifique ni définition juridique, que l’on pourrait qualifier d’argument émotionnel. Sans nier l’existence de certaines formes de manipulation dans les rapports humains, il est inacceptable que des minorités soient désignées comme les foyers uniques de ce genre de pratiques. L’idée que les minorités spirituelles, thérapeutiques ou éducatives, dénuées de moyens, comparativement aux grands groupes d’opinion, auraient le pouvoir d’accaparer les esprits, de les transformer et de les aliéner, relève plus simplement de la superstition. La CIA et probablement de nombreux autres services secrets de par le monde ont planché sur l’aliénation des individus, sans résultat probant en dehors de ceux obtenus par des méthodes violentes et illégales (incarcération, administration de drogues, menaces, hypnose forcée…). Des études (voir aussi la vidéo ci-dessous) montrent qu’en réalité, au sein des minorités soupçonnées de « dérives sectaires », celles qui sont soupçonnées de savoir « capter les esprits », la proportion des personnes qui quittent le groupe par rapport à celles qui restent est très importante.  

Comment donc une grande part de la population française en est-elle venue à adhérer à une telle superstition ?

La première réponse est tangible, historique : l’Etat français (essentiellement l'Assemblée nationale et le gouvernement), relayé par les grands médias, a déployé  depuis trente ans l’effort nécessaire à l’établissement d’une véritable psychose. Effort de longue haleine, discret (selon le sondage précédemment cité, ¾ des français ne savent toujours pas ce qu’est la MIVILUDES), opiniâtre (quels que soient les gouvernements, et malgré les remises en question européennes et internationales) et prenant soin de ne jamais se confronter aux arguments sérieux, mais d’user d’une rhétorique émotionnelle à l'impact avéré. 

Une autre réponse est la docilité et la passivité déconcertantes des médias sur le sujet qui, non contents de ne jamais avoir donné la parole (à deux ou trois exceptions près) à des analyses contradictoires de la politique française en matière de « sectes », servent et resservent cycliquement chaque année des dizaines d'articles, dossiers, émissions et reportages relayant unilatéralement la vision manichéenne antisectes, erronée dans les chiffres et les faits. Il y a là comme un angle mort, une abstention presque totale de vrai journalisme. 

Georges Fenech, ancien président de la MIVILUDES, met en avant chaque fois qu'il le peut le sondage en question pour conclure qu’un  cinquième (voire un quart !) des français seraient effectivement victimes de dérives sectaires. C'est comme s'il faisait des « proches soupçonneux » des experts, alors qu'ils sont plus sûrement désinformés par les soins de la MIVILUDES et entretenus dans une superstition laïque.  D'autre part, Georges Fenech accepte d'être lui-même désigné comme l’expert français d'une question qu’il qualifie de « très délicate », alors qu'il n'a jamais fait preuve de la moindre subtilité pour l'aborder. C'est cette vision superstitieuse et mensongère qui est enseignée aux fonctionnaires, gendarmes, magistrats, lesquels n'ont pas dû bien comprendre la leçon puisqu'aucun d'entre eux n'a jamais apporté de preuves qu'il y avait bien un loup dans la forêt publique.  

Denis Mathieu  CICNS

Commentaires

Toujours aussi débile, aussi menteur et aussi ... sectaire, l'ex boss de la miviludes...

Et son successeur n'est pas mieux !

 

Quant aux médias qui relaient certaines débilités un peu trop facilement sans laisser la parole à ceux qui voient les choses autrement, j'en ai encore eu une belle preuve la semaine dernière avec le Nouvel Obs qui annonçait que la médecine était envahie par les charlatans et les mouvements sectaires. J'ai osé demander en commentaire si le Nouvel Obs avait été revendu à la miviludes, et, comme par hasard, mon commentaire n'est jamais apparu en ligne.

Apparemment, il y a des choses qu'on ne peut pas dire...

 

Pour la Belgique, pour y vivre, je puis vous affirmer que l'on y est beaucoup moins obnubilé par les "dérives" en question qu'en France...

 

Belle journée.

la preuve , que ce que vous dites est archi-faux :


L'approche des pouvoirs publics belges vis-à-vis des questions sectaires a longtemps été empreinte d’une certaine réserve justifiée par la difficulté de prendre position dans un domaine touchant aussi bien à la liberté d’expression et d’association qu’à la liberté de pensée, de conscience et de religion. En conséquence, ce n’est que lorsque l’ordre public risquait d’être menacé que les autorités agissaient. Les éventuels dommages subis par des adeptes de mouvements sectaires étaient considérés comme relevant de la vie privée de ces personnes et ne méritaient dès lors pas l’intervention des autorités publiques.

Cette situation a prévalu jusque dans la moitié des années 1970, période où s’est déroulé le procès pénal des frères Melchior dans l’affaire des « Trois Saints Coeurs ».
Ce procès fut l’occasion pour l’avocate bruxelloise Julia Nyssens-Dussart de
s’impliquer sur le plan associatif dans la défense des victimes des sectes. C’est ainsiqu’en 1976, J. Nyssens crée l’Association pour la défense de l’individu et de la famille (ADIF). Quelques années plus tard, en 1984, une asbl poursuivant les mêmes objectifs est créée en Flandre, le Vereniging ter Verdediging van Persoon en Gezin (VVPG). Le profil de ces associations varie selon les motivations de leurs fondateurs. Dès l’origine, l’ADIF s’est orientée vers le conseil et la défense des anciens adeptes sur le plan juridique. Par contre, le Studie en Advies group Sekten (SAS) créé en 1999 par Julien Lippens, ancien témoin de Jéhovah, s’est présenté davantage comme une association militante, voire revancharde aux yeux de certains. Ces exemples illustrent les appellations de counter-cult et d’ « anti-cult » qui qualifient dans la littérature anglosaxonne, de manière plus nuancée que le terme « anti-sectes », les associations s’opposant aux organisations sectaires.


Par leur action, ces associations de terrain ont contribué à la prise de conscienc publique qu’au-delà des drames individuels vécus par les adeptes de mouvements sectaires, la question de la réaction des pouvoirs publics face aux dérives sectaires devenait un enjeu collectif. Ce rôle a d’ailleurs été reconnu dans une note du 10 janvier 1995 par laquelle la Chambre était informée du soutien du gouvernement fédéral au travail d’une commission d’enquête parlementaire : « Les recherches sur les sectes nuisibles étaient au départ, et sont toujours effectuées par des organismes privés composés de personnes bénévoles dont l’action est fatalement limitée. Elles constituent un service rendu au public, principalement aux familles qui en sont les victimes, soit qu’un de leurs membres ait été séduit par la secte, soit qu’elle leur ait soutiré de l’argent 1. »
La constitution en mars 1996 par la Chambre des représentants d’une commission d’enquête parlementaire marque un tournant dans cette approche. Les douze mois au cours desquels les membres de la commission étudièrent le phénomène sectaire

il y a des sites , forums et blogs , qui sont tout aussi dangereux pour la santé ,

et qui ne sont pas répertoriés par le CIAOSN et la  MIVILUDES ,

mais que le CNOM de  FRANCE ( j'ai les preuves ) , et de BELGIQUE ENQUETENT

Quelles preuves ? 

J'aimerais les voir, tes prétendues preuves (puisque c'est de moi dont il s'agit (et de mon blog).

Mais bizarrement, chaque fois qu'on te les demande, tu éludes la question...

Suite à mon Rapport au CNOM Français du 30 mai 2014 ,

ce dernier dans sa réponse du 12 juin 2014 , me signale ,

ce qui suit :

...

Objet : Dérives dans le domaine de la santé

Monsieur, Nous avons pris connaissance de votre email

en date du 30 mai nous informant du contenu du site internet

« santé à la lune » sur lequel M. Delfosse tient un blog.

Nous avons transmis votre documentation au Conseil national

de l’Ordre des médecins de Belgique pour le tenir informé

des risques pour la santé des individus que présente ce site.

Je vous prie de croire,

Monsieur, à l’assurance de mes salutations les meilleures. -

Éric Delfosse - 25/12/2014 - 22:00


Quelles preuves ?

J'aimerais les voir, tes prétendues preuves

(puisque c'est de moi dont il s'agit (et de mon blog).

Mais bizarrement, chaque fois qu'on te les demande,

 tu éludes la question...


je vous ai donné les preuves ( mais vous n'y répondez pas ) ,

à nouveau je remets les preuves :

Suite à mon Rapport au CNOM Français du 30 mai 2014 ,

ce dernier dans sa réponse du 12 juin 2014 , me signale ,

ce qui suit :
.............

Objet : Dérives dans le domaine de la santé

Monsieur, Nous avons pris connaissance de votre email

en date du 30 mai nous informant du contenu du site internet

« santé à la lune » sur lequel M. Delfosse tient un blog.

Nous avons transmis votre documentation au Conseil national

de l’Ordre des médecins de Belgique pour le tenir informé

des risques pour la santé des individus que présente ce site.

Je vous prie de croire,

Monsieur, à l’assurance de mes salutations les meilleures. -

Conseil National de l'Ordre des Médecins


Monsieur Gérard LEMOINE
Email : qerard.lemoine29@wanadoo.fr
Paris, le 12 Juin 2014


Objet : Dérives dans le domaine de la santé

Monsieur,
Nous avons pris connaissance de votre email en date du 30 mai
nous informant du contenu du site
internet « santé à la une » sur lequel M. Delfosse tient un blog.
Nous avons transmis votre documentation au Conseil national
de l'Ordre des médecins de Belgique
pour le tenir informé des risques pour la santé des individus
que présente ce site.
Je vous prie de croire,
 Monsieur, à l'assurance de mes salutations les meilleures.

delfosse tient aussi les mèmes  propos que le Pr Henri Joyeux


les dangers du Pr Henri Joyeux ,


Une radiation de l'Ordre envisageable

Propos dangereux, sans base scientifique


Vaccin : le Pr Joyeux poursuivi pour deux infractions par l'Ordre des médecins

 

Le Conseil National de l'Ordre des Médecins, réuni en session,
a décidé de porter plainte contre le Pr Henri Joyeux.
 Il dénonce des propos outranciers et dangereux sur la vaccination.

 

 

 

Publié le  25.06.2015 

Pr Henri Joyeux

Ordre des médecins

 

Avec près de 700 000 signatures adressées à la ministre de la Santé,
la pétition du Pr Henri Joyeux, cancérologue, a récemment défrayé la chronique.
 Ce médecin proteste contre le monopole de fait de l’Infanrix hexa, un vaccin combiné,
 qui, à la vaccination obligatoire Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite,
adjoint une vaccination facultative (mais recommandée) contre trois autres maladies.

Ce cancérologue formulait aussi une liste de griefs à l’encontre de l’Infanrix hexa.
Le vaccin contient de l’aluminium et du formaldéhyde,
deux adjuvants qu’il considère comme dangereux pour la santé,
et coûterait beaucoup plus cher que les autres vaccins.
A ces attaques, Marisol Touraine, mais surtout les infectiologues,
ont déjà répondu, expliquant que, contrairement à ce que le Pr Joyeux
dénonce dans sa pétition, il n’existe pas de données scientifiques prouvant
la toxicité des vaccins pour le cerveau (sclérose en plaques, Parkinson, Alzheimer)
 et les muscles (myofasciite à macrophages).
 Et ce jeudi, c’est le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM)
 qui a contre-attaqué.

 

Des propos dangereux pour les patients

Lors d'un point presse organisé ce jeudi, le Président de l'Ordre,
 a indiqué que le CNOM, réuni en session, a décidé de porter plainte
contre le Pr Henri Joyeux. L'institution dénonce deux
infractions commises par ce praticien.
« D'une part, il a tenu des propos non appuyés
sur des bases scientifiques qui, aujourd'hui,
portent atteinte à la profession de médecin.
 D'autre part, son discours peut être "dangereux"
pour la population, puisqu'il s'agirait de discréditer
 le mécanisme de vaccination préventive, alors que nous considérons
qu'il est de la responsabilité du médecin d'accompagner
les actions de santé publique inscrites dans le Code de déontologie »,
 a rappelé l'Ordre.  

 

Une radiation de l'Ordre envisageable

Concrètement, le CNOM va donc porter plainte auprès
de la chambre disciplinaire de première instance concernée par l'affaire.
Il s'agit de celle du Languedoc-Roussillon, puisque ce chirurgien exerce à Montpellier.
Et avant même les résultats du jugement, Patrick Bouet annonce
 déjà qu'en cas de relaxe du Pr Joyeux, il va faire appel auprès
de la chambre disciplinaire nationale,
« car cette affaire nécessite que nous allions jusqu'au bout de la procédure », pense-t-il.

Cependant, il souligne que le temps de la justice est « long »,
 puisque le Pr Joyeux aura entre 6-8 mois pour préparer sa défense,
 « le temps que cette juridiction administrative (où siège un magistrat)
 mène l'instruction en première instance ».
Le Président de l'Ordre a précisé que la peine encourue pouvait aller
« jusqu'à la radiation ».
« Nous ne pouvons pas cautionner des dérives de cette nature,
dans le débat sur la vaccination qui agite la société française.
 Pour régler les angoisses et les inquiétudes,
il faut apporter des faits scientifiques,
 et pas des convictions individuelles », a-t-il conclu. 

Le professeur Joyeux a parfaitement raison. L'Infanrix hexa ne se justifie pas, hors énormes profits financiers pour l'industrie pharmaceutique. Et la pénurie du DTP, vaccin éprouvé mais peu cher, encore moins.

Qu'il soit attaqué, probablement par (ou pur) ceux qui ont de gros intérêts financiers à défendre, ne signifie pas que le professeur Joyeux a tort. 

le Conseil National de l'Ordre des Médecins a déposé
                    plainte contre le pr joyeux
                    ( bientot ex médecin )

DELFOSSE DEMANDE LES PREUVES  , JE LES DONNE IL NE REPOND PAS ,

il a PEUR DE CE QUE LE CNOM VA FAIRE JUDICIAIREMENT , je l'espère

 

 

Suite à mon Rapport au CNOM Français du 30 mai 2014 ,

ce dernier dans sa réponse du 12 juin 2014 , me signale ,

ce qui suit :

...

Objet : Dérives dans le domaine de la santé

Monsieur, Nous avons pris connaissance de votre email

en date du 30 mai nous informant du contenu du site internet

« santé à la lune » sur lequel M. Delfosse tient un blog.

Nous avons transmis votre documentation au Conseil national

de l’Ordre des médecins de Belgique pour le tenir informé

des risques pour la santé des individus que présente ce site.

Je vous prie de croire,

Monsieur, à l’assurance de mes salutations les meilleures. -

Olivier Hertel, journaliste de Sciences et Avenir s’est lancé dans une vaste enquête sur ce type de médecines dites « parallèles », « complémentaires » ou « non conventionnelles ».

Il démarre par le reiki qui prétend « canaliser les énergies » par imposition des mains, pointé par la Miviludes dans son guide « Santé et dérives sectaires ».

Un document de 130 pages « Le reiki à l’hôpital » délivre « toutes les ficelles » pour « endormir la méfiance des personnels hospitaliers » afin de pouvoir introduire cette technique à l’hôpital.

Car de l’aveu même de l’animateur du site reiki Forum, le reiki a rencontré quelques difficultés, ces dernières années, à pénétrer l’hôpital en France.

Selon ce même document interne, les techniques de « réharmonisation » du reiki permettraient la guérison du cancer et autres maladies graves…

 

BELGIQUE  :

Sectes : enfin une loi efficace

vendredi 27 mai 2011 

Une loi arrive pour contrer les gourous de tout poil,

 des sectes internationales aux pseudo-thérapeutes. Au cour du problème :

 l'abus de la faiblesse des personnes fragilisées.

 

 

 

Les titres des propositions de loi sont parfois indigestes.

 C'est que, pour franchir le filtre de la commission Justice de la Chambre

- et donc convenir aux partis s'apprêtant à les voter -,

ils peuvent être quelque peu triturés. C'est sans doute ce qui est arrivé à la

« proposition de loi insérant un article 442 quater dans le Code pénal en vue de sanctionner

 la déstabilisation mentale des personnes et les abus de la situation

 de faiblesse des personnes ainsi qu'étendant la protection pénale

des personnes particulièrement vulnérables contre la maltraitance ».

 Mais le reste du texte est clair : il s'agit de mieux protéger se des gourous

et autres abuseurs les personnes fragilisées.

Cette proposition va devenir loi :

son texte, déjà adopté en première lecture par cette commission, devait y être voté

au milieu de la semaine (avant d'être quasi automatiquement accepté ensuite en séance plénière).

 Il présente deux volets et vise d'abord à permettre d'incriminer ceux qui,

 dans une intention de nuire, abusent de la faiblesse de personnes

 mises en situation de vulnérabilité en raison de l'âge,

d'un état de grossesse, d'une maladie, d'une infirmité ou d'une déficience physique ou mentale.

 Cet abus, qui était déjà punissable en France (une très efficace loi About-Picard y existe depuis 2001),

 peut consister à amener la victime à poser un acte ou, au contraire,

 à s'en abstenir. C'est selon que l'une ou l'autre de ces situations

 la conduira à nuire à son intégrité ou à son patrimoine.

La justice confirme que les indépendants doivent cotiser au RSI
La cour d’appel de Limoges a rendu lundi 23 mars un jugement important
qui confirme que, malgré leur colère contre le RSI,
les indépendants n’ont pas le droit d’arrêter de cotiser.
Les « libérés de la Sécu » sont priés de rentrer à la maison.
 Dans un jugement très attendu sur le Régime social
des indépendants (RSI), la cour d’appel de Limoges
 a confirmé lundi 23 mars la jurisprudence antérieure?:
 en France, il est obligatoire de cotiser à la Sécurité sociale.
Le RSI, une caisse de Sécu??
La justice était saisie par un électricien, affilé
au Régime social des indépendants (RSI) depuis 2006,
et qui, confronté à un désaccord portant sur près de 16 000 euros
de cotisations, avait manifesté depuis 2011 son souhait
de se désaffilier.
Se référant à un jugement de la cour de justice européenne,
 l’artisan contestait le caractère de caisse de sécurité sociale
du RSI et lui déniait la capacité d’ester en justice pour recouvrer
 ces cotisations.
Les « Libérés » en colère
Un argument sur lequel surfe depuis plusieurs années
le Mouvement des Libérés, qui, à grand renfort de réunions
 dans de nombreuses villes de France, affirme que
 « quitter la Sécu, s’assurer mieux, moins cher, c’est légal ».
Selon Claude Reichman, le fondateur de ce mouvement,
 « entre 30 000 et 70 000 indépendants »
 auraient déjà quitté le RSI, le plus souvent
pour s’assurer auprès d’un organisme privé en Angleterre.
 La Sécurité sociale, de son côté, assure que le phénomène
reste limité à « quelques centaines de cas ».
> À lire?: Ces indépendants qui s’assurent à l’étranger
Le mouvement risquait de prendre de l’ampleur tant grandissait
la colère contre les dysfonctionnements du RSI,
dénoncés lors d’une forte manifestation parisienne
le 9 mars puis d’une mobilisation plus limitée le 23 mars.
> À lire?: Les petits patrons inquiets pour leur Sécu
Le principe de la solidarité nationale
Le jugement de Limoges devrait néanmoins calmer les ardeurs
 de ceux qui sont tentés par une désaffiliation.
Le RSI est donc bien, est-il écrit dans le délibéré, un
« régime légal de Sécurité sociale » avec « obligation d’affiliation ».
« La sécurité sociale pose en principe la solidarité nationale
sur laquelle repose le système, avec une obligation d’affiliation
des personnes exerçant en France une activité, salariée ou non »,
 confirme ainsi le délibéré,
qui réaffirme également que le RSI est bien un
 « régime légal de Sécurité sociale » et que
« le droit européen ne fait pas obstacle
à la compétence des États pour aménager un système
de sécurité sociale dont ils conservent l’entière maîtrise ».
« Il y a bien obligation d’affiliation »
Bref, « il y a bien obligation d’affiliation pour les
indépendants relevant du RSI », résume Jean-Philippe Naudon,
directeur de mission du RSI, qui ajoute?:
« Nous invitons toutes les personnes qui sont engagées
 dans une désaffiliation illégale à se rapprocher de leur caisse.
 Si, normalement une pénalité de 5 % plus 0,4 % par mois
 de retard doit être appliquée, une demande de remise gracieuse
 peut être faite auprès d’une commission amiable. »
En revanche, le RSI pourrait engager des poursuites pénales
 contre ceux qui font illégalement la publicité de la désaffiliation.
Depuis la dernière loi de finances de la Sécurité sociale,
les contrevenants s’exposent désormais à une peine relevée
à six mois d’emprisonnement et une amende de 15 000 €.

praticiens de cette supercherie devraient avant

tout informer leurs patients des croyances

et pratiques sous-jacentes au reiki

(ainsi que de son coût),

 ce qui en ferait certainement fuir beaucoup

avant même d'avoir essayé.

 Une simple étude rapide de la littérature

 des partisans du reiki suffit à mettre en doute

la confiance qu'on peut accorder

à tout praticien de ce charlatanisme.


 Le Reiki

 

Le mot "reiki" est d'origine japonaise. "Rei"

signifiant "esprit universel" et "ki"

qui se réfère à la "force de vie" ou "l'énergie"

 (que l'on retrouve aussi en Chine, on peut l'écrire

sous la forme "chi"). Les adeptes créditent

 un certain Dr Mikao Usui d'avoir "redécouvert"

le Reiki, considéré cependant comme

une "technique ancestrale",

 aux environs de 1846 lors de ses recherches

sur les "textes sacrés".

En fait de technique "ancestrale",

le reiki n'est pas si vieux que ça puisqu'il

est apparu au milieu du XIX° siècle chez

les chrétiens japonais.

 

 
Il est clair, d'après les descriptions des pratiquants,

que le reiki n'est rien d'autre qu'un avatar,

une variante d'autres superstitions thérapeutiques

telles que les rituels de guérison

issus de la sorcellerie Wicca, chiqonq

(basé sur la médecine traditionnelle chinoise),

le toucher thérapeutique

(pratique pseudo-médicale

d'infirmières américaines des années 1920

ressemblant au "magnétisme" de nos campagnes)

et d'autres pratiques de guérisons chamanes

 impliquant un mouvement ou une

imposition des mains, des rituels.

 Ces rituels sont des pratiques "magiques"

qui prétendent manipuler "d'invisibles

forces spirituelles".

Pour faire court, et éliminer

la pseudo gangue dont l'entoure ses adeptes,

 le reiki n'est qu'un système

de massages mais attention,

 pas n'importe quels massages,

 de "massages énergétiques

" transmis par Usui suite à une "apparition "

qui lui fit connaître tous

 les grands mystères de l'univers,

 et guérir miraculeusement les malades

 (rien que ça) !

Les praticiens de reiki du premier

degré apprennent à "traiter",

au moyen d'une série de 12 positions

des mains spécifiques placées doucement

 sur le corps. Cela faciliterait

le flux de l'"énergie reiki" à travers

le praticien, se manifestant, parait-il,

 par un sentiment intense de chaleur

 dans les mains. Le praticien prétend

n'être qu'un "canal" pour l'énergie reiki.

Un praticien reiki du second

degré "apprend à envoyer

le reiki à distance par le recours

à des symboles spéciaux qui impliquent

l'entrée dans l'expérience de l'énergie

et d'écouter sa voix intérieure".

Le troisième niveau est celui de "Maître Reiki",

 un processus d'une durée de un an

ou plus pendant lequel il travaille

 en tant qu'apprenti avec un autre Maître Reiki.

 Pendant tout ce temps, l'apprenti apprend

à "incarner" l'énergie et devient

donc ensuite capable d'instruire

le Reiki à d'autres."

Bien entendu, il n'existe aucune preuve

clinique de l'efficacité de tout

ce fatras ésotérico-magique,

remis au goût du jour par le new-age,

 qu'est le reiki, aucune preuve

non plus que les effets que peut ressentir

 quelqu'un lors d'une séance ne soit

autre chose que de l'autosuggestion,

ou que ces massages soient supérieurs

ou meilleurs à un quelconque massage,

ou à autre rituel de guérison magique.

Les croyances métaphysiques

du reiki peuvent même parfois entrer

en conflit avec les croyances personnelles

 du patient.

Une revue systématique de 205 études

internationales relatives au Reiki

a été entreprise.

Ces études provenaient de 23 bases de données.

 Cette étude a conclu que rien ne permettait

de déclarer que le reiki était efficace

pour quelque condition qui soit.

En effet, cette revue a établi

que les études ayant évalué le reiki

 étaient entachées de défauts

tels qu'un échantillon beaucoup

trop petit pour pouvoir tirer des conclusions

fiables, des méthodologies de piètre qualité,

 ou des comptes-rendus qui laissaient à désirer.

En tout état de cause,

les praticiens de cette supercherie

 devraient avant tout informer leurs patients

des croyances et pratiques sous-jacentes

 au reiki (ainsi que de son coût),

ce qui en ferait certainement fuir

beaucoup avant même d'avoir essayé.

 Une simple étude rapide de la

littérature des partisans du reiki

suffit à mettre en doute la confiance

qu'on peut accorder à tout praticien

de ce charlatanisme.

La littérature reiki transforme de fausses

informations en faits,

et instruit les praticiens sur comment

contourner la loi pour se protéger

eux-mêmes et se décharger

de toute responsabilité en cas de problèmes.

Avant de mettre tout dans le même sac, et dénigrer tout ce que vous ne connaissez pas, vous feriez mieux d'étudier.Les humains ont survécu depuis des miliers d'années en utilisant uniquement les forces spirituelles et les elements de la nature, et la société actuelle est en train de s'auto détruire, ayant exterminé toutes les sociétés naturelles. La croyance materialiste que vous présentez est la cause d'une schizophrénie collective qui amènene la destruction de la nature à court terme, et le suicide collectif de l'humanité.Donc les charlatans sont bien les materialistes du siecle actuel, et ceux qui essaient de sortir de cette stupidité sont bienvenus.

à amorgen ,

Je connais les pratiques sectaires-sectes , et je mets en public

afin de dire à tout le monde de faire ATTENTION ,

aux sites-blogs-forums-manipulateurs , qui se basent

sur la faiblesse des des gens ( abus de faiblesse ),

les abus de faiblesse , sont :

les graves maladies , telles que les cancers et autres

maladies prises en charge à 100% ( sans avance d'argent )

par la Sécurité Sociale aux titres

des Affections de Longues Durées ( ALD-LONGUES-MALADIES )

le chomage

les divorces

la situation financière

 

les personnes agées , à ce propos les

sites-blogs-forums-manipulateurs pratiquent ,

la maltraitance envers les personnes agées ,

ces organismes qui luttent contre la maltraitance ,

se nomment ALMA-FRANCE , ALMA-wallonne-BELGIQUE

 et ALMA-INTERNATIONALE ,

en ce qui concerne ma REGION , c'est RHONALMA ,

d'ailleurs j'ai signalé

un blog à RHONALMA  , qui transmet

à ALMA dont rélève l'auteur de  la maltraitance

*********************************************

abus de faiblesse


Les personnes âgées, malades ou infirmes

sont des cibles idéales pour les gens sans scrupule.

 En cas d’abus, des recours sont possibles.


Une pression insupportable

Les femmes âgées qui vivent seules sont

les principales victimes

 de l’abus de faiblesse.

 Cette infraction est constituée lorsqu’une personne profite

de la faiblesse et de la vulnérabilité d’une autre

pour obtenir quelque chose.


************************************


Je ne mets pas tout le monde dans le mème sac ,

je ne dénigre personne

je connais énormèment  de choses

j'étudie depuis fort longtemps et , je continue à étudier ,

j'ai commencé l'école

en 1944 ( j'avais 4 ans ) et , sous les bombes et j'ai terminé

mes études en 1957

( à mon époque l'école ETAIT de 4 ans à 14 ans ) ,

mon expérience ,

scolaire , mes études secondaires , religieuse , professionnelle ,

plus mon expérience de la vie, tout ceci me permet de dire ,

que j'ai une solide culture , ceux qui me connaissent vraiment et ,

que je vois plusieurs fois par jour ,

disent de moi que je suis trés cultivé  ,

voici ce que j'ai fait , dans les domaines qui suivent :

scolaire : donc de 1944 à 1954 , école primaire ,

1954 à 1955 école Saint-Joseph à Saint- Saturnin

 ( en Auvergne , dans le 63 ),

1955 à 1957 , école Michelin à Clermont-Ferrand

( à l'époque l'école Michelin était réservé uniquement ,

aux seuls fils des employés Michelin ) ,

j'ai travaillé chez Michelin , puis dans l'Industrie Pharmaceutique ,

dont je suis retraité

février 1956 , j'ai passé le concours pour les écoles de l'Armée

de l'Air , pour étre mécanicien-pilote en vol , j'ai reussi

ce concours , nous sortions de cette école

Aspirant-Lieutenant (grade militaire), la durée de cette étude

était de 10 ans

( 3 ans d'étude militaire , 7 ans d'engagement militaire ,

 soit au total 10 ans )

mais malheureusement , je n'ai pu y rentrer

pour raison de santé .

dans le domaine religieux , ma Grand-Mère paternelle a été ,

Gouvernante d'un Prétre , qui était membre de ma Famille ,

le Presbytère , une maison de deux étages ( 15 pièces ) ,

une grande cour , un grand jardin-potager-fruitier ,

 une grande grange  et

un grenier et une cave , tout ceci appartenait à ma Grand-Mère ,

ma Grand-Mère  était habilitée par le Diocèse , à enseigner

l'éducation religieuse , ma Grand-Mère  m'a donc éduqué à la religion

Catholique-Chrétienne-Romaine , j'ai été Enfant-de-Choeur ,

je suis allé à la Jeunesse Ouvrière Chrétienne ( JOC ) ,

ainsi qu'à Coeur-Vaillant, mon éducation religieuse , a aussi

portée sur la Religion Musulmane ( 114 sourates )

et la Religion Juive,

ce qui me permet de donner beaucoup de renseignements

sur les 3 Religions reconnues par mon Pays la France

( je ne suis pas Théologien , mais j'aurai pu l'étre )

 Le reiki hors la loi , il entre à l’hôpital ,
alors qu'il n'en pas le droit , à cause de ces gens ,
qui se disent soigner et mème guérir les cancers et autres maladies
ce sont des menteurs , ils violent le Code de la Santé Publique
il met les Malades en très Grand Danger


Unadfi :
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Les sectes entrent à l’hôpital

 

Olivier Hertel, journaliste de Sciences et Avenir
s’est lancé dans une vaste enquête sur ce type de médecines dites
« parallèles », « complémentaires » ou « non conventionnelles ».

Il démarre par le reiki qui prétend « canaliser les énergies »
par imposition des mains, pointé par la Miviludes dans son guide
 « Santé et dérives sectaires ». Un document de 130 pages
« Le reiki à l’hôpital »
 délivre « toutes les ficelles » pour
 « endormir la méfiance des personnels hospitaliers »
 afin de pouvoir introduire cette technique à l’hôpital.
 Car de l’aveu même de l’animateur du site reiki Forum,
le reiki a rencontré quelques difficultés,
 ces dernières années, à pénétrer l’hôpital en France.
 Selon ce même document interne,
 les techniques de « réharmonisation »
du reiki permettraient la guérison du cancer
et autres maladies graves…

En Angleterre, un spécialiste de médecine complémentaire
 à l’université d’Exeter a recommandé de ne pas autoriser
le reiki dans les hôpitaux, s’appuyant notamment
sur une étude parue dans « Oncology Nursing Forum »
qui met en évidence que les effets de cette pratique
ne seraient pas supérieurs à ceux d’un placébo.
Cet avis est partagé par le Pr Joël Menkes,
membre de l’Académie Nationale de Médecine,
à l’origine d’un rapport actuellement en cours de rédaction
à l’Académie sur les médecines non conventionnelles
 dans les hôpitaux publics. Son initiative a été lancée
 à la suite de l’annonce par
l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP),
 de son intention de développer
 « certaines thérapies non conventionnelles ».
 Pour le Pr Joël Menkes « introduire ces thérapies
 revient à les légitimer, à leur donner du crédit ».
Le journaliste cite d’autres pratiques reposant sur les
 « forces guérisseuses » .
 Une jeune femme, Chloé, a engagé une action en justice
contre le Mouvement Régénérateur et a saisi la Miviludes.
 Sa mère, âgée de 58 ans et adepte de ce mouvement,
refuse l’ablation de son sein, touché par une tumeur.
 A la suite d’un stage, elle a été convaincue
« qu’elle peut faire disparaître la maladie toute seule ».

« Les cas douteux se multiplient »
 dans de prestigieuses institutions médicales.
 Ainsi en est-il de la réflexologie plantaire reconnue
par le « Référentiel pour la prise en charge de la douleur
 chez l’adulte » en usage dans tous les services de cancérologie
 et édité par l’Association francophone pour
les soins oncologiques de support (Afsos).
Cette association qui réunit les plus grands experts
(oncologues, hématologue, etc), a donné « sa bénédiction »
à la réflexologie, pratique qui repose sur un concept
« scientifiquement fantaisiste » de « réharmonisation »
des énergies en pressant des points précis de la plante des pieds.
 L’Afsos a ainsi ouvert un boulevard à d’autres pratiques à risques.

 On découvre sur le site officiel de la Ligue
contre le cancer de Loire-Atlantique
 une invitation à la réflexologie avec une thérapeute.
 Un lien renvoie vers un site de « réflexologie intégrative »
 mentionnant que cette technique aide le malade atteint du cancer
 à « retrouver une attitude positive face à la vie
 pour stimuler au maximum son intelligence naturelle d’autoguérison ».
Par ailleurs, Olivier Hertel précise qu’il existe des liens
 entre la réflexologue et une association de thérapeutes,
 Etres en mouvement, qui propose un éventail de pratiques alternatives
non éprouvées. Un patient peut ainsi se trouver
« immergé » dans un réseau dont « l’idéologie »
suggère l’arrêt des traitements conventionnels.

 Pour sa part, Simon Schraub, professeur de cancérologie
 à Strasbourg et auteur d’une étude sur les médecines alternatives
 dans le domaine du cancer, affirme qu’il ne faut pas prendre
le risque d’introduire les
« médecines complémentaires dans les institutions médicales ».
 Un point de vue partagé par Patrick Dufour,
directeur du centre anticancer Paul-Strauss à Strasbourg pour qui
 « les soins de support » doivent se cantonner
 à ce qui est vraiment bénéfique pour le malade :
 traitements éprouvés contre la douleur,
 diététique, soutien psychologique, kinésithérapie, etc.
 A Marseille, l’hôpital Paul-Desbief a accueilli pendant trois jours
l’Association de prévention pour la santé
par les médecines douces (Apsamed)
qui dispose d’un large réseau de naturopathes,
kinésiologues et réflexologues. L’association organise chaque année
un colloque où se croisent thérapeutes,
médecins et chercheurs intéressés par les médecines alternatives.
Dans un enregistrement vidéo de l’édition 2011,
il est possible d’entendre un magnétiseur délivrer des conseils
pour éviter de se faire poursuivre
 pour exercice illégal de la médecine
ou bien un autre intervenant qui n’hésite pas à faire
référence aux théories plus que contestées du Dr Hamer.
Présente aussi sur la vidéo :
 Martine Gardénal, médecin homéopathe et
« présidente de la recherche de l’Apsamed ».
 Cette dernière avait été condamnée à une interdiction
d’exercice de six mois dont trois avec sursis
par l’Ordre des Médecins
« pour n’avoir pas respecté le suivi thérapeutique
de certains de ses patients atteints de cancer »…

Enfin, c’est au cœur du système universitaire
 que l’enquête du journaliste se conclut.
Il s’intéresse à la fasciathérapie qui soutient l’existence
dans le corps d’un mystérieux mouvement animant les fascias,
 « tissus conjonctifs qui délimitent les organes ».
Cette pratique, élaborée par le kinésithérapeute
et ostéopathe français Danis Bois, a été dénoncée
par le Conseil National de l’Ordre des kinésithérapeutes
« qui rappelle qu’elle n’est pas reconnue par la profession,
 contrairement à ce que prétend Danis Bois ». De même Olivier Palombi,
 professeur d’anatomie et de neurochirurgie à l’université de Grenoble,
conteste les allégations des promoteurs de la fasciathérapie.
Une étude de master réalisée cette année à l’université de Grenoble
confirme que la fasciathérapie n’a pas fait la preuve
de son efficacité thérapeutique.
 Reste que cette dernière « et ses dérivés »
 se sont imposés comme une discipline à part entière à l’Université !
L’article répertorie ainsi 17 thèses en cours dans au moins
six universités. Enfin, la fasciathérapie est enseignée dans
le cadre du Diplôme universitaire (DU) Stress, Traumatisme et Pathologie
de la Pitié-Salpêtrière à Paris.
 « Plus surprenant », cette pratique a fait l’objet d’un
« essai clinique » à l’Institut de cancérologie de l’Ouest (ICO) d’Angers.
Actuellement, « des cohortes de kinésithérapeutes »
apprennent la méthode Danis Bois par l’entremise de
« Point d’appui », un organisme de formation privé
qui délivre master, Diplôme d’Université et Doctorat reconnus par l’Etat.
 « Et ce, grâce au partenariat avec l’université privée
Fernando-Pessoa de Porto (Portugal)
 où les étudiants ne sont tenus de se rendre que pour
 la soutenance de leur diplôme » qui se déroule en français.
Par ailleurs, Danis Bois bénéficie de soutiens à l’intérieur
 du système universitaire français et notamment
d’un professeur spécialiste de l’épistémologie du corps
et auteur d’une quarantaine d’ouvrages.

 En conclusion de son article, le journaliste révèle
que ses investigations au sein de la communauté
scientifique de l’université d’Angers
l’ont mené jusqu’à un mouvement ésotérique mystique,
 Omalpha et à une secte russe Ashram Shambala dont le gourou
est actuellement jugé en Russie
« pour diverses activités criminelles,
 en particulier dans des réseaux de prostitution ».

 Il a le culot d'insulter aussi mon GOUVERNEMENT ,
 donc la MIVILUDES , celle-ci dépend du PREMIER MINISTRE

il a publié ce qui suit en violation du secret de la correspondance
je lui ai envoyé en mail personnel , il me menace de publier
mes coordonnées personnelles en violation de ma vie privée


https://santealalune.wordpress.com/2014/10/09/merci-a-mon-troll/

(article publié initialement le 22 août 2013, je me permets
de le « remonter » vu que l’on reparle ces derniers temps
 de la miviludes et des massages Reiki)

.

.

.

Oui, merci, parce que, pour me faire peur
(hou que j’ai peur, si, si…), il m’a envoyé une copie
 de la correspondance
que lui aurait[1] envoyée la miviludes à propos du Reiki.

En voici la copie que monsieur mon troll a eu la charmante idée
de nous faire parvenir ce dimanche 4 août au matin,
à tous les lecteurs de ce blog…

 

XXXXXXXXXX

 

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

 

PREMIER MINISTRE

 

Mission interministérielle de vigilance

 

et de lutte contre les dérives sectaires

 

Le Président

 

Paris, le 17 mai 2013

 

XXXXXXX

XXXXX

 

Monsieur,

 

Vous avez interrogé la Mission Interministérielle
de Vigilance et de Lutte contre les Dérives

 

Sectaires (MIVILUDES) sur la pratique du « Reiki »
dans le domaine de la santé.

 

En réponse à votre courriel, j’ai l’honneur de vous faire connaître

 

que la MrVILUDES n’a pas vocation à

 

définir ce qu’est une secte. Elle ne tient pas non plus
un registre des mouvements sectaires.

 

Ayant pour

 

mission d’observer et de lutter contre les dérives sectaires,
 elle s’intéresse

 

aux atteintes pouvant être portées,

 

par tout groupe ou tout individu, à l’ordre public,
aux lois et aux règlements,

 

aux libertés fondamentales et à

 

la sécurité ou à l’intégrité des personnes
 par la mise en oeuvre de techniques de sujétion,

 

de pressions ou de

 

menaces, ou par des pratiques favorisant l’emprise mentale

 

et privant les personnes d’une partie de leur libre

 

arbitre.

 

Conformément au principe de laïcité, la MIVILUDES s’interdit
 de porter quelque

 

jugement de valeur que ce

 

soit sur les doctrines, les théories
ou les croyances en tant que telles,

 

son objet étant de dénoncer

 

systématiquement les dérives sectaires et de lutter contre elles.

 

Pour exercer sa mission de vigilance,
elle s’appuie notamment sur un certain nombre de critères de

 

dangerosité édictés sur la base des travaux de plusieurs
 commissions d’enquête parlementaire et sur sa

 

propre expérience :

 

– la déstabilisation mentale,

 

– le caractère exorbitant des exigences financières,

 

– la rupture avec l’environnement d’origine,

 

– l’existence d’atteintes à l’intégrité physique,

 

– l’embrigadement des enfants,

 

– le discours antisocial,

 

– les troubles à l’ordre public,

 

– l’importance des démêlés judiciaires,

 

– l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels,

 

– les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.

 

n’ont pas la même valeur. Le premier critère (déstabilisation mentale)

 

est toutefois toujours présent dans les

 

cas de dérives sectaires.

 

La Mission interministérielle est particulièrement vigilante à l’égard

 

des dérives sectaires qui peuvent être

 

mises en oeuvre dans le champ de la santé et du médico-social,

 

au regard notamment de la multiplication de

 

propositions d’ordre pseudo thérapeutique.

 

S’agissant de votre demande, la technique sur laquelle vous vous interrogez

 

est défavorablement connue de

 

la Miviludes. Le Reiki, d’origine japonaise,
 consiste à poser doucement les paumes des mains

 

sur différents

 

points du corps. La méditation fait le reste !
 Le praticien initié à la technique

 

est présenté comme un canal de

 

l’énergie universelle qui sera transmise au patient
pour rétablir la force vitale.

 

Le Reiki est également préconisé par ses défenseurs dans la prise

 

en charge des troubles psychologiques liés

 

à l’enfance. Cette technique, si elle ne met pas toujours
 directement en danger l’enfant,

 

induit néanmoins une

 

perte de chances vis-à-vis de l’amélioration de son état de santé

 

et des possibilités réelles et durables de

 

guérison.

 

La France a vu ces dernières années l’apparition

 

du Reiki chamanique. La force et la protection de l’énergie

 

du Reiki permettraient d’entrer « sans danger »
dans des pratiques chamaniques.

 

La Miviludes souhaite appeler votre attention
sur les risques inhérents à cette technique.

 

Elle est non

 

éprouvée et ne bénéficie d’aucune reconnaissance légale.

 

De surcroît, l’absence de formation reconnue sur le

 

plan légal peut induire un amateurisme de la part de certains
pseudos praticiens.

 

En tant que telles, cette technique peut conduire des malades
à des comportements

 

d’adhésion irréductible

 

entraînant une interruption de leur traitement ou celui de leur enfant,

 

ce qui entraîne une perte de chance,

 

juridiquement répréhensible. Le risque est caractérisé
notamment par une déstabilisation mentale,

 

des coûts

 

de prestation démesurés, des ruptures familiales et des atteintes

 

à l’intégrité physique des adeptes.

 

Je vous prie d’agréer, Monsieur,
l’expression de ma considération distinguée.

 

(et, apparemment, ce n’est pas signé) , oui c'est signé
                                        il y a donc falsification
                                        de sa part 

VOILA QUI EST CET INDIVIDU ,
                            SOUTENIE CE TYPE ET S'EN RENDRE COMPLICE


Histoire criminelle

Hamer entra plusieurs fois en conflit avec la justice en Allemagne,
 en Autriche et en France et fut condamné définitivement
(condamnations exécutoires) plusieurs fois.
En tout, il a dû effectuer plusieurs années de prison en Allemagne et en France.

• En 1986, Hamer fut condamné à une amende de 3.000 DM
(marks allemands), car il avait traité d’avril à août 1986
 des patients sans approbation
(qui lui avait été retirée début avril 1986,
 en France cela correspond à une radiation de l'Ordre des médecins),
et, par là, violait la loi sur les Heilpraktikers
 (référence 34 Js 85/86 du tribunal du district de Cologne).

• Le 22 janvier 1992, il fut condamné par le tribunal
de district de Cologne en raison d'une nouvelle violation
contre l'HPG (la loi réglementant la profession des Heilpraktikers)
 à une peine d’emprisonnement de 6 mois avec sursis.
 Par le jugement rendu en appel au tribunal régional (LG)
 de Cologne du 12 février 1993,
la peine de condamnation fut diminuée de 4 mois d’emprisonnement (105-99/92 MO).
 Il avait traité sans succès un homme jeune ayant
un cancer des os avec un plâtre, procédé inapproprié pour cette maladie.
On avait dû amputer l’homme de la jambe
(procédures 613 Ls 152/91 et 34 Js 232/89 du tribunal de district de Cologne).

• Le 27 juillet 1993, Hamer fut condamné à 7 mois avec sursis
(tribunal de district de Graz) en Autriche, pour diffamation.

• L’année 1995 fut marquée pour Hamer par le cas de la
patiente cancéreuse Olivia Pilhar alors âgée de cinq ans.
Les parents d’Olivia furent condamnés à huit mois avec sursis
(jugement du tribunal régional de Neustadt, dans le viennois,
 du 11 novembre 1996 dans l'affaire pénale contre Erika et Helmut Pilhar,
 et jugement du tribunal de Vienne, en tant que cour d'appel,
du 4 septembre 1997 dans l'affaire pénale contre Erika et Helmut Pilhar).
 Ils avaient amené leur enfant cancéreuse en Espagne chez Hamer.
 Les tentatives de thérapie MNG infructueuses n’eurent pour Hamer
 aucune conséquence pénale, car il exerçait depuis en Espagne,
 à l'extérieur de l'Autriche et de l'Allemagne.
La référence de son propre procès dans le cas d'O. Pilhar est 34 JS 221/96.
Finalement l'enfant fut opérée contre la volonté des parents
 et vit aujourd'hui en bonne santé (référence :
GZ 4C E VR S34 / 95 - 189 pages 1082-1120, Az. 23 Bs 114/97 (pages 1121-1141)).

• En 1997, Hamer fut arrêté à Cologne et condamné
par le tribunal de district de Cologne à 19 mois de prison ferme,
dont il purgea douze mois. Il fut prouvé à son encontre
 la non-assistance à personne en danger et la violation de la loi
 sur les Heilpraktikers.
Le point de départ de l'accusation était des plaintes
de parents après la mort de trois patients cancéreux
qui avaient été traités sans succès selon la MNG.
 Hamer fut renvoyé dans sa cellule le dernier des cinq jours
du procès pour injures envers le tribunal et fut autorisé
 à entrer de nouveau dans la salle d'audience seulement
après la fin du plaidoyer de son avocat. Bernd, le fils d’Hamer,
qui traita le juge de trou du cul et compara le procès
 avec la justice NS (national-socialiste), écopa de trois jours
de détention à titre disciplinaire.
Au cours du procès, dans une expertise psychiatrique,
 il fut certifié qu'Hamer avait une: personnalité perturbée,
 psychopathique avec des convictions délirantes non-influençables,
selon le souvenir de Leuzing, une personne présente
(procédure 34 Js 178/95 Tribunal du district de Cologne).

• L’année 2001, Hamer fut condamné en France par contumace
 à 3 ans de détention et une amende, pour complicité d'exercice illégal
de la médecine et pour tromperie. Une plainte avait
été déposée par un homme du nom Guy C. à Chambery dont l'épouse cancéreuse
s’était fait traiter sans succès par la NMG et qui était décédée.
D'autres parents (de patients) avaient aussi porté plainte,
 également en France, contre Hamer.
 La France avait délivré un mandat d'arrêt international.
 Hamer fut arrêté le 9 septembre 2004 en Espagne et extradé vers la France,
 où, après six ans d'enquêtes,
 il fut condamné à Chambéry définitivement et exécutoirement.
Entre-temps, une partie des délits qui lui étaient reprochés
étaient prescrits, et ne pouvaient plus être pris en considération.
Le 16 février 2006, il fut libéré de prison près de Paris.
 Hamer bénéficia d’une remise de peine pour la deuxième moitié
 de la peine de détention, apparemment pour des raisons de santé.
 Ainsi, il aurait souffert, selon des rumeurs,
depuis déjà des années d'un cancer de la colonne vertébrale.
 Hamer présenta les radiographies correspondantes et les conclusions
(du radiologue) pour faire suspendre le procès contre lui,
sans succès. On peut voir les radiographies sur les pages Web
de son adepte Helmut Pilhar.

• Actuellement (2010), plusieurs affaires pénales contre Hamer en instance.
Tout d'abord, un procès du ministère public de Cottbus (§ 130 StGB)
 pour incitation à la haine raciale,
tout comme un vieux mandat d’arrêt autrichien.
 Selon les déclarations d'Hamer,
il a quitté, pour cette raison, son exil espagnol en mars 2007
et est en fuite pour trouver un asile politique en Norvège
(qui n'appartient pas à l'UE). Depuis 2007,
il est connu qu'Hamer séjourne en Norvège.
 Depuis 2010, une instruction a été ouverte par ministère public de Kempten
 à l’encontre d’Hamer pour voies de fait ayant entrainé la mort.
 Ceci en rapport avec la mort de la petite patiente cancéreuse agée de 12 ans,
 Susanne Rehklau.

• Depuis 2010, le ministère public de Bonn a ouvert
 une instruction à l’encontre d’Hamer pour des infractions
 contre la loi sur la publicité des produits
de santé (les produits médicamenteux) (HWG)
 sous le numéro de dossier 118/10 Js 222.

• En 2010 : d'après les renseignements
 du journal norvégien "Sandefjords blad",
le médecin administratif Svein Lie a porté plainte fin septembre 2010
contre Hamer auprès de la police de Vestfold et aussi auprès de l'organe
de surveillance "Statens helsetilsyn" (conseil de santé d’état),
 pour avoir traité une fille cancéreuse de 12 ans
de la région d'Hambourg qui avait séjourné avec sa mère deux semaines
 à Sanderfjord pour être traitée par Hamer.

A tous et à Gérard en particulier :

Les commentaires postés sur cet articles tournent beaucoup aux attaques personnelles et surtout ils n'apportent rien.

@Gérard : si le niveau de vos commentaires ne s'améliorent pas, je ne les validerai plus

@ Tous : Si le niveau général ne s'améliore pas, je fermerai les commentaires de cet article.

 terrorisme ,
                           j'ai transmis celà au MINISTERE
                           DE L'INTERIEUR DE FRANCE ,
                           QUI PRENDRA CONTACT AVEC SON HOMOLOQUE
                           DU PAYS CONCERNE ,
je cite entrautre :

                     parce qu’un connard est monté à bord
                    d’un train avec des armes ?
                    La belle affaire !
je rappelle qu'il est interdit de monter avec des armes
dans les transports en commun les personnes qui sont intervenues
ont évité un attentat , MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
                        FRANÇOIS HOLLANDE A REMIS LA LEGION D'HONNEUR
                        à NOS , MES HEROS ,

 

http://www.liberation.fr/societe/2015/08/24/thalys-hollande-decerne-la-legion-d-honneur-aux-heros-americains-et-britannique_1368490
   
François Hollande décore les héros du Thalys 
la Légion d'honneur aux quatre hommes qui ont mis fin
à une attaque à main armée dans un train Thalys

 

                                 ..........
                                ............
                                 ..........
LIRE , BLOG santé à la lune

Rubrique : Bravo, les moutons !

Je vois mal le rapport entre ce commentaire, et le sujet de l'article au départ.

j'ai un QI DE 139 , malgré les insolences dont je suis victime
                    et entrautre JE SUIS ACCUSE , d'illetré ignares...,


MIVILUDES  :

MISE EN GARDE
            Comment la détecter ?


Des critères élaborés sur la base du travail accompli par plusieurs
 commissions d’enquêtes parlementaires ont permis
d’établir un faisceau d’indices facilitant la caractérisation
d’un risque de dérive sectaire :
la déstabilisation mentale
le caractère exorbitant des exigences financières
la rupture avec l’environnement d’origine
l’existence d’atteintes à l’intégrité physique
l’embrigadement des enfants
le discours antisocial
les troubles à l’ordre public
l’importance des démêlés judiciaires
l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels
les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.

Un seul critère ne suffit pas pour établir l’existence
d’une dérive sectaire et tous les critères n’ont pas la même valeur.
Le premier critère (déstabilisation mentale)
est toutefois toujours présent dans les cas de dérives sectaires.

Sur la base des signalements reçus depuis une dizaine d’année,
la MIVILUDES a précisé le contenu de ces critères de manière à déterminer
des signaux d’alerte. Ces signaux d’alerte sont indiqués
ci-après à titre d'information. Ils n’ont aucun caractère impératif
ou exhaustif et découlent de l’analyse des situations
de dérives sectaires transmises à la MIVILUDES.
Ils peuvent toutefois aider des victimes, des proches de victimes,
 des acteurs institutionnels, professionnels ou associatifs,
 à déceler un risque de dérive sectaire.
Plusieurs d’entre eux sont nécessaires pour caractériser une telle situation.


Dérives concernant les personnes

Comment déceler l’influence sectaire dans le comportement d’un proche :

adoption d’un langage propre au groupe
modification des habitudes alimentaires ou vestimentaires
refus de soins ou arrêt des traitements médicaux régulièrement prescrits
situation de rupture avec la famille ou le milieu social et professionnel
engagement exclusif pour le groupe
soumission absolue, dévouement total aux dirigeants
perte d’esprit critique
réponse stéréotypée à toutes les interrogations existentielles.
embrigadement des enfants
existence d’atteintes à l’intégrité physique ou psychique
manque de sommeil


Dérives concernant les biens

Comment déceler l’influence sectaire en matière économique et financière ?

acceptation d’exigences financières de plus en plus fortes et durables
engagement dans un processus d’endettement
legs ou donations à des personnes physiques ou morales
en lien avec le groupe auquel appartient la victime
obligation d’acheter ou de vendre certains matériels
 ou services comme condition incontournable d’appartenance au groupe
participation à des conférences, stages, séminaires,
 retraites, en France ou à l’étranger
existence d’escroqueries ou de publicité mensongère
sur les qualités substantielles d'un produit ou d'un service

Dérives concernant la vie sociale et démocratique

Comment déceler l’influence sectaire dans le domaine
de la vie sociale et démocratique ?
 
discours antisocial ou anti démocratique
critique des institutions de la République
troubles à l’ordre public
perturbation du fonctionnement normal des services publics
(par exemple intrusion non autorisée dans les hôpitaux pour empêcher
 certains actes médicaux)
existence de condamnations judiciaires ou ordinales
détournement des circuits économiques traditionnels
tentatives d’infiltration ou de déstabilisation des pouvoirs publics
publication de documents ayant l’apparence
 d’un caractère officiel dénigrant certains services publics
détournement de marques, dessins, titres
et modèles officiels pour amener une confusion dans l’esprit du public

Je me contre-fiche de votre QI de 139, dont l'existence réelle ou imaginaire n'a pas à être mentionnée ici.

A l'avenir vos commentaires qui tiennent plus de la paranoïa qu'autre chose ne seront plus validés.