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Non la fin du monde n'aura pas lieu le 21 décembre 2012!

Blog de : cbesnou

Selon les dires de plusieurs Oracles comme Nostradamus ou encore la Sybille, la fin du monde ou l'apocalypse serait prévue pour le 21 Décembre 2012 ! L'un des plus anciens calendriers de l'histoire tire à sa fin.

Le 21 Décembre 2012, selon leurs traditions, les Mayas indiquent un changement radical et global à l’échelle mondiale. Au solstice de l'hiver 2012, ils confirment sans équivoque la FIN DU MONDE tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Quelques rappels

L'expression « fin du monde » désigne le moment supposé d'une destruction de la terre ou de la seule humanité. On retrouve ce thème dans de nombreuses religions, philosophie et mythologie.

Qu’en est il dans les spiritualités du monde qui, je le rappelle ont toutes le même but « faire grandir notre moi intérieur face à notre corps matérialiste » avec des chemins différents car les Inuits du grand Nord n’ont pas la même vie que les Tibétains ou les Amérindiens. Mais les spiritualités du monde ont toujours eu énormément de point commun sur toutes les bases spirituelles connues : sagesse, amour, paix, harmonie, méditation te en ce qui nous concerne beaucoup de bon sens et de discernement.

  • Dans la Bible :

La Fin des temps ou temps de la fin est une expression désignant la Fin du Monde. Le mythe eschatologique est traité ici. (Ne pas confondre avec scatologique désignant des écrits ou des propos se rapportant aux excréments !). L’expression « temps de la fin » ne signifie pas une « fin du temps », mais désigne une période qui débouche sur la fin ou destruction, non pas de toutes choses, mais des choses dont parle la prophétie. Les Écritures sont le plus souvent interprétées que le temps en lui-même ne prendra pas fin mais que les dés en seront jetés.

Conclusion : Donc il est clairement écrit que ça n’est pas une fin du monde en soi mais une destruction dont parlent les écritures uniquement.

 

Le millénarisme, ou chiliasme soutient l'idée d'un règne terrestre du Messie, après que celui-ci aura chassé l'Antéchrist et préalablement au jugement dernier. Cette pensée est présente dans certains courants du judaïsme, dans l'Apocalypse de Jean, dans les écrits des Pères apostoliques et dans l'islam sunnite et chiite. Depuis la fin du 19ème siècle, on assiste à une résurgence du millénarisme à travers plusieurs communautés religieuses comme, par exemple, les Témoins de Jéhovah, les Mormons et le mouvement rastafari.

  • Dans le Coran :

En plus du Jour du Jugement, il est écrit Yawm al-Qiy?mah (??? ???????: "Jour de la résurrection"). Sourate de la Fissure (Al-Infitâr) : Lorsque le ciel se déchirera, que les astres se disperseront, que les mers déborderont et que les tombeaux seront bouleversés, toute âme saura alors ce qu’elle aura accompli et ce qu’elle aura omis. Loin de L’en louer, vous traitez de mensonge le Jugement dernier, alors que vous êtes constamment surveillés par de nobles scribes qui sont au courant de tout ce que vous faites ! En vérité, les hommes pieux baigneront dans les délices et les impies seront livrés à la Fournaise, dont ils subiront, le Jour du Jugement dernier, les supplices, sans jamais pouvoir y échapper.

Conclusion : La fin du monde apparait ici comme une image figée à perpétuité d’un paradis ou tout le monde il est beau tout le monde il est gentil et d’un enfer apparemment plein de coup de soleil.

 

  • Dans le bouddhisme :

Mòf? en chinois :??, ou mapp? en  japonais???? ,  « fin du dharma» est la dernière des trois ères qui composent un cycle de la cosmologie bouddhiste. Durant cette période, dont la durée peut varier de cinq cents à dix mille ans selon les sources, la communauté monastique devient indisciplinée, la doctrine et les pratiques se perdent, l’ordre social se dégrade et des calamités naturelles se produisent. Cependant lorsque le bouddhisme a entièrement disparu, un nouveau bouddha arrive et un nouveau cycle débute. Selon cette croyance, l’humanité est entrée dans l’ère mapp? entre les VIe et XIe siècles, et le prochain bouddha sera Maitreya.

Conclusion : Il apparait clairement que la fin du monde est simplement la encore un passage au même titre que la séparation d’avec son enveloppe charnel et n’est nullement une fin en soi.

  • Dans la mythologie nordique:

Le Ragnarök est une fin du monde prophétique comprenant une série d'événements dont trois hivers sans soleil (Fimbulvetr) qui se succèderont, suivis d'une grande bataille sur la plaine de Vigrid. La majorité des divinités comme Odin, Thor, Freyr, Heimdall et Loki, mais aussi les géants et la quasi-totalité des hommes y mourront, une série de désastres naturels verront ensuite le monde submergé par les flots et détruit par les flammes. Une renaissance suivra, où les dieux restants, dont Baldr, Hödr, et Vidar, rencontreront le seul couple humain survivant, qui repeuplera le monde.

Conclusion : Ici aussi on le dit : « Une renaissance suivra ».

  • Dans la Philosophie :

La fin du monde est appelée ici « la fin de l’histoire »

La fin de l'histoire est un concept, ou une idée, qui apparaît d'abord dans La Phénoménologie de l'esprit de Hegel. (ne pas confondre comme je l’ai vu déjà avec la phénoménologie psychologique de l’imagination de J.P Sartre connu sous le nom l’Imaginaire). Elle a par la suite été réinterprétée, au XXe siècle, d'abord par Alexandre Kojève, par Raymond Abellio dès Assomption de l'Europe en 1952 et remise au goût du jour après la chute du mur de Berlin par Francis Fukuyama, comme terme final de l'histoire. Si cette interprétation a été fortement contestée à la suite des événements des années 1990, entre autres par Jacques Derrida dans Spectres de Marx, des interprétations contemporaines de Hegel distinguent clairement l'utilisation, par ce dernier, de ce terme, de l'usage qu'en ont fait Kojève et Fukuyama. Dans cette perspective, la « fin de l'histoire » serait, chez Hegel, présente à chaque instant dans le processus historique, processus qui ne connaît pas lui-même de terme final. Les interprétations au sujet du sens de ce terme divergent donc très fortement, et le débat est loin d'être tranché.

La fin de l'histoire présuppose épistémologiquement un critère d'arrêt et présuppose l'histoire comme n'étant pas cyclique, ni gouvernée par l'éternel retour. Il y a selon cette thèse, une évolution de l'histoire qui aura un terme, et qui débouchera sur une période stable sans évolutions majeures. Il y aurait un sens à l'histoire, une fin. La compréhension d'une telle thèse passe nécessairement par la mise en lumière de ses hypothèses.

En philosophie, l'influence de Hegel et de sa vision de l'histoire comme le développement de l'Esprit est indéniable. Si bien que la tradition idéaliste entendue au sens large, tend à concentrer la production philosophique contemporaine, comme si Platon l'avait emporté sur Socrate. Pour trouver des contre-arguments à l'« absolutisme » hégélien, il faudra alors se tourner du côté des historiens - qui reprochent souvent aux philosophes d'« essentialiser l'Histoire » -, ou encore des politologues, au risque de perdre en hauteur théorique.

Elle sera reprise par le marxisme, qui parle plutôt de l'histoire comme du lieu de déroulement de la lutte des classes, qui doit déboucher sur la société sans classe. En fait, pour Karl Marx, la véritable histoire commence avec la fin de la lutte des classes, les hommes étant alors pleinement maîtres de leur destinée (s'il y a une fin, c'est la fin d'une préhistoire).

Il est possible de trouver une dimension messianique dans la thèse de la fin de l'histoire, en effet c'est dans la Bible qu'apparaît pour la première fois (Isaïe 65, 17; 66,22) l'idée d'une fin de l'histoire, avec les temps messianiques. Cela correspond à « l'âge théologique » de la pensée de l'histoire. D'ailleurs, pour caractériser la Phénoménologie de l'esprit, on parle parfois de « christologie ».

Pour Bernard Bourgeois, hégélien convaincu, il faut distinguer deux niveaux dans l'histoire : l'histoire universelle et l'histoire empirique. L'histoire est l'unité hiérarchisée de ces deux formes. L'histoire universelle est l'histoire de l'universel, des structures fondamentales de l'esprit, l'essence éternelle des choses. Le philosophe ne s'intéresse qu'à la « raison dans l'histoire ». L'actualité de cette fin signifie qu'il n'y aura aucune détermination fondamentale nouvelle. La fin de l'histoire est conçue comme la relation entre un État fort et une Société Civile libre. L'histoire empirique, en revanche, est liée à l'élément naturel et à la contingence ; elle n'est pas prévisible et elle se continue même si l'histoire de la raison universelle (l'histoire de la raison) est close.

 

  • Dans les Lois Universelles, les sciences et la spiritualité :

Je parle ici des L.U., les Lois Universelles, que nous pouvons à la lumière de nos connaissances en science et en spiritualité considérer comme ce que la plupart des Humains nomment DIEU. Si nous ne respectons pas ces Lois, qui englobent nos lois physiques et chimiques, nous allons vers de graves ennuis, physiques ou psychiques. Je prendrai juste deux exemples très simples : prendre un virage à 200km/h non équipé pour avaler la loi sur la force centrifuge nous expose à la destruction de notre enveloppe charnelle, de même, ne pas apprendre de nos erreurs avec les autres nous expose à retomber toujours dans le même trou ou de se retrouver dans une très mauvaise passe.

Il faut d’abord distinguer entre « extinction de l'humanité » et « destruction de la planète ».

1) Extinction de l'humanité

Elle peut tout d'abord découler de l'activité humaine : pollution, épuisement des ressources naturelles ou de l’effet de serre. Le réchauffement climatique est susceptible d'entraîner une diminution de l'oxygène dans l'air par mort du plancton et une libération de sulfure d’hydrogène mortel pour la majorité des organismes. Le sulfure d’hydrogène, vous remarquerez que l’on en entend jamais parler, est un des coupables probables de l'extinction du Permien.

L'extinction Permien-Trias ou extinction permienne fut une extinction massive survenue il y a environ 250 millions d'années. Elle délimita l'ère géologique du Permien et celle du Trias, donc la limite entre le Paléozoïque (l'ère primaire) et le Mésozoïque (l'ère secondaire).
Cette extinction fut marquée par la disparition de 95 % des espèces marines et de 70 % des espèces vivant sur les continents, ce qui en fait en fait, la plus grande extinction massive ayant affecté la biosphère. En conséquence, la reprise de la vie sur Terre a pris beaucoup plus de temps que pour les autres extinctions massives. Cet événement a été décrit par l'auteur D. H. Erwin comme « la mère de toutes les extinctions de masse. »

En dehors des effets de l'activité humaine, toute espèce est amenée à disparaître suivant les lois de l'évolution et les Lois Universelles. L'espèce humaine est la dernière branche des Homo, ce qui indiquerait une évolution en « impasse », une extinction dans quelques centaines de milliers d'années (bien que le fait que certaines espèces animales soient quasiment inchangées depuis des millions d'années peut relativiser la chose).

Conclusion : Il est donc difficile, voire impossible pour des devins aussi célèbre que Nostradamus ou le calendrier Mayas d’avoir pu prévoir les changements sociaux, culturels, le progrès des sciences, en un mot de prévoir la destruction de l’homme par lui-même, même si cela est tout à fait plausible, possible et même inévitable au vu de ce que nous vivons actuellement, mais en fixer une date précise à un jour près relève de la magie ou de la folie.

2) Destruction de la Terre

Concernant la destruction de la planète, ou en tout cas d'une grande partie de toutes les formes de vie, plusieurs scénarios sont évoqués.

Hiver d'impact

Ca s’est déjà produit et donc ça se reproduira.

Cela pourrait survenir suite à la collision de la Terre avec un astéroïde dit « géocroiseur » ou tout simplement une comète. Ce scénario inquiétant fait partie des hypothèses les plus sérieuses pour expliquer par exemple l’extinction des dinosaures ainsi que d'autres extinctions passées, et fait l'objet d'une attention particulière. Une intervention humaine serait éventuellement susceptible de l'éviter : bombe, laser, voile solaire, collision cinétique, propulsion classique, solaire, ionique, … afin de dévier, accélérer, ralentir, ou détruire l'astéroïde dangereux. De ce fait, certains organismes tels Spacewatch ou Near Earth Asteroid Tracking (NEAT) scrutent le ciel afin de repérer les astéroïdes qui seraient susceptibles de frapper la Terre à plus ou moins longue échéance.

La période de ce type de phénomènes semble relativement brève à l'échelle astronomique : de quelques centaines de milliers d'années à quelques centaines de millions d'années selon les énergies d'impact. Beaucoup de traces, bien qu'érodées par le temps, sont encore visibles sur la surface terrestre.

Conclusion : Prévoir la course des étoiles dans le ciel est une chose, l’arrivée d’astéroïdes en est une autre et un peu de bon sens suffit à remettre les choses à leur place. Le calendrier Mayas n’a jamais prévu la course des astéroïdes mais la course des planètes.

Inversion du champ magnétique terrestre

Cela se produit à intervalles de temps irréguliers mais dont la moyenne est estimée à 250 000 ans environ. Ce phénomène s'accompagnerait d'un bombardement cosmique important susceptible de créer une extinction massive des espèces.

Conclusion : Actuellement l’angle d’inversion serait en mouvement et se décalerait de sa position initiale, de combien et dans combien de temps aura lieu le phénomène ? Nos scientifiques actuels sont de piètres devins en la matière.

Refroidissement du noyau terrestre

Le refroidissement du noyau terrestre entraînerait la fin du champ magnétique terrestre. La fin du champ magnétique laisserait le « vent solaire » pénétrer dans l'atmosphère terrestre, bombardant la surface terrestre de particules énergétiques dont l'augmentation deviendrait potentiellement dangereuse. Les formes de vies alors présentes à cette époque devront se protéger ou périr. Cependant, la diminution du champ magnétique devrait être extrêmement progressive, laissant à l'évolution le temps de faire son œuvre.

Conclusion : On aurait le temps de voir venir et à mon avis vu les derniers volcans qui se sont déclarés, la pression à l’intérieur et la chaleur ne sont pas près de décliner.

La disparition de l'atmosphère par fuite vers l'espace

On sait, même si ça n’est pas un sujet de médias que la Terre perd actuellement environ 3 kg d'hydrogène et 50 g d'hélium par… non pas par an ni par mois mais par seconde, ce qui est peu finalement au regard de la planète, mais si on compare une fuite sur un pneu, les plus petites que l’on ne peut déceler, finissent par avoir raison de notre pneu ! Et une petite fuite car fuite il y a ! finit par peser aux échelles de temps géologiques. Plusieurs phénomènes se conjuguent pour expliquer ces fuites auxquelles, par exemple, est due la très faible pression actuelle sur Mars. Ainsi, il est prévu, concomitamment à l'augmentation de la luminosité du soleil, que la Terre devienne un désert total dans environ 2 milliards d'années après que les océans se seront asséchés.

Conclusion : entre 2 milliards d’années et un peu plus d’un an d’ici 2012, la marge est suffisamment large pour que cela ne soit pas la raison de la fin du monde le 21 décembre 2012 !

Évolution stellaire

Elle indique que le soleil durant « sa vie » sur la séquence principale, augmente lentement sa puissance au rythme de 1 % tous les 90 à 100 millions d'années. Dans environ 1 milliard d'années, le climat de type terrestre ne pourra plus être maintenu et la Terre deviendra une étuve. Ensuite, la vapeur d'eau sera progressivement décomposée par les ultraviolets solaires en hydrogène et oxygène, l'hydrogène finira par s'échapper dans l'espace et l'oxygène à se combiner aux roches de par les hautes températures de surface. La Terre connaitra alors un destin similaire à sa « planète sœur » Vénus.

Au bout de cette lente augmentation de la puissance solaire, le Soleil quittera alors la séquence principale et sa puissance augmentera encore plus vite, tout comme sa taille. Il passera par une phase de géante rouge et verra son volume considérablement augmenter. Le Soleil, qui a aujourd'hui vécu ~4,6 milliards d'années sur les 10 (à 12) milliards d'années que durera sa vie, soufflera alors l'atmosphère résiduelle de la Terre (où toute vie aura disparu depuis bien longtemps). La surface terrestre, mise à nu, se mettra progressivement à fondre devant la géante rouge qui grossira jusqu'à englober quasiment tout le ciel diurne. Ce qui restera du globe incandescent de ce qui fut la Terre dépendra des frottements et effets de marée dans l'atmosphère externe du Soleil devenu « géante rouge ». Cet évènement de transformation du Soleil en géante rouge est inévitable.

Beaucoup de scénarios de science fiction plus ou moins plausibles évoquent un déménagement de l'humanité sur un autre corps céleste plus éloigné (les cinq autres planètes du système solaire, les objets transneptuniens (OTN), voire un vaisseau spatial nomade ou une exoplanète.

En astronomie, on désigne par objet transneptunien (OTN) tout objet du système solaire dont l'orbite est entièrement ou pour la majeure partie au-delà de celle de la planète Neptune. La ceinture de Kuiper et le nuage d'Oort sont les noms de quelques subdivisions de ce volume de l'espace. La planète naine Pluton est le premier objet transneptunien à avoir été découvert, mais c'est la découverte de (15760) 1992 QB qui a déclenché la recherche d'autres objets transneptuniens.

 

 Un autre scénario que l'émigration est de brasser les réserves d'hydrogène du Soleil, qui sera encore loin de les avoir épuisé à cette époque, et ainsi de le ranimer pour retarder son destin de géante rouge. Une telle hypothèse suppose cependant que l'humanité ait alors atteint au moins le niveau d'une civilisation de type II au sens de L'échelle de Kardashev, et maîtrise la technologie nécessaire.

Cette échelle de Kardashev est une méthode générale de classement des civilisations en fonction de leur niveau technologique, proposée en 1964 par l'astronome russe Nikolaï Kardashev. Elle se compose de trois catégories basées sur la quantité d'énergie dont dispose une civilisation donnée, selon une progression exponentielle.
Nikolaï Kardashev a présenté son échelle en 1964 lors de la conférence deByurakan (aujourd'hui en Arménie), qui faisait le point sur le programme d'écoute de l'espace par la radioastronomie soviétique.
Une civilisation de Type I est capable d'utiliser toute l'énergie disponible sur sa planète d'origine. Une civilisation de Type II doit s'avérer capable de collecter toute l'énergie de son étoile centrale. Une civilisation de Type III a à sa disposition toute l'énergie émise par la galaxie dans laquelle elle est située.

 Toutefois, si la survivance d'ici là de l'espèce humaine n'est pas physiquement impossible, elle est tellement improbable qu'elle est généralement considérée comme nulle : en effet, l'humanité aura dû traverser des centaines de millions d'années depuis notre ère, ce qui représente beaucoup d'occasions pour la survenance d'une catastrophe qui lui soit fatale.

Conclusion : Rappelons que suivant L'échelle de Kardashev, La civilisation humaine est de Type 0, quelque part sous le Type I, puisqu'elle n'utilise qu'une fraction de l'énergie totale disponible sur Terre. Mais cela ne conclue pas que l’on ne peut pas se faire sauter la poire tout seul, nous en sommes bien capables si l’on considère que l’évolution selon Kardashev est de piller l’énergie à tout prix ! Consommons notre terre jusqu’à sa dernière goutte d’énergie ! Quelle tristesse. C’est quelque fois à espérer que ce produise cette fin du monde le plus vite possible afin de ne pas permettre à l’humanité de saccager sa mère nourricière ! Car nous ne sommes pas les seuls à vivre dessus !

Collision entre Andromède et la Voie lactée

La Voie Lactée, galaxie dans laquelle se trouve notre système solaire, et la galaxie d’Andromède pourraient se rencontrer dans trois milliards d'années, soit bien avant l'extinction du Soleil mais bien après la « cuisson » de notre planète par ce dernier. Néanmoins, les conséquences ne seront probablement pas catastrophiques car, quand deux galaxies entrent en collision, leurs étoiles respectives n'ont qu'une probabilité infime de se heurter en raison des distances considérables qui les séparent.

Conclusion : Ça n’est pas non plus cette collision que le calendrier Mayas a prévue pour nous !

 

Alors que dire de cette prévision apocalyptique ?

 

Qu’elle prévoit, monde marketing oblige, des endroits où il ne se passera rien ! Et donc des endroits où le commerce fleuri comme par magie et les appartements jusqu’aux places de parking ont déjà atteint des prix faramineux !

Il faut toujours se poser la question « A qui profite le crime » dans notre pauvre société axée sur le pouvoir et le profit.

Avec un peu de bon sens et de discernement, d’intelligence et d’un minimum de connaissances, on sait que les calendriers, les cartes astrologiques, ne correspondent pas les unes aux autres, les conjonctions planétaires ont changé, notre calendrier à changer de forme plusieurs fois depuis 2000 ans, la preuve pour seulement notre religion, les chrétiens ne fêtent pas la naissance du christ le même jour, les Catholiques le 24 décembre et les Maronites le 6 janvier, et n’oublions pas non plus que tout est impermanent et que tout est illusion puisque nos sens nous trompent facilement, et surtout que l’Être Humain est toujours prêt à croire aux plus sottes balivernes sans aller y voir de plus près, ça je l'ai prouvé mainte fois dans mon blog.

Il est vrai qu’au vu à la vitesse où les choses se détériorent au niveau global, les possibilités de catastrophes climatiques majeures peuvent avoir lieu du jour au lendemain !

Mais cela n’aura rien à voir avec cette date fatidique du 21 décembre 2012 qui n’a aucun sens bien que j’ai mis à jour toutes les conditions qui pourraient faire que l’apocalypse ait lieu, la datation n'existe que dans l'optique d'une "croyance".

Mais le problème principal qui se pose pour étayer la véracité de ma thèse reste le suivant :

Aurons-nous le temps d’assister au 21 décembre 2012 ?

Voir quelques uns de mes articles qui traitent du sujet climatique :

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2009/10/sables-bitumineux.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2010/06/anomalies-de-temperature-de-mai-2010-ca.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2010/07/des-statistiques-qui-laissent-songeuses.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2010/11/lirriversibilite-est-engagee.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2011/01/la-fin-du-monde-seulement-la-fin-dun.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2011/04/le-monde-apogee-et-decadence.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2011/05/la-fonte-de-larctique-accelere-plus.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2008/10/le-point-de-non-retour-est-depasse.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2008/06/vers-une-extinction-de-la-race-humaine.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2008/06/encore-le-rchauffement.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2008/04/si-cest-pas-droit-dans-le-mur.html

http://naturopathie-psychotherapie.blogspot.com/2008/04/resume-sur-le-rechauffement-climatique.html

Claude Besnou -- Naturopathe