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Dossier interdit: la vaccination - le nouveau scandale medical! LA COQUELUCHE

Blog de : cbesnou

« Il n’y a pas complaisance possible avec l’intolérance, faire preuve de tolérance avec l’intolérance, c’est déjà avoir perdu la dignité d’Être Humain, dans les deux sens du terme. ». Claude Besnou

 

 

MISE EN GARDE

 

« On est, ou on a été, tous, moi y compris, des « gens-moutons ». Il n’est aucune insulte dans le fait d’être un “gens-mouton”, c’est le fait de le « rester », une fois que l’on « sait », qui est grave. » Claude Besnou.

Si vous n’avez aucun commentaire positif et constructif, mais que votre émotivité à exprimer, à cause du choc provoqué par ce que vous apprenez ici pour une fois, avec des preuves (choc qui je le reconnais est normal au premier abord). Et oui, c’est difficile de remettre en question les croyances que l’on nous a inculquées même sans preuves ! Inutile de sortir vos insultes et vos affirmations sans sources (trouvez autre chose que les affirmations largement répandues des laboratoires fabricants de vaccins eux-mêmes qui n’ont d’autres sources qu’eux-mêmes !) vos insultes à mon égard, seraient faites à ces médecins et ces professeurs qui font des recherches que les laboratoires essaient de cacher à la masse, (apparemment ils y arrivent bien vu le nombre de « gens-moutons » qui s’offusquent de lire ce qu’ils n’ont évidemment jamais lu et entendu parler).

Si vous croyez aveuglément ce que les pouvoirs publics, les laboratoires pharmaceutiques, et vos médecins généralistes qui n’en savent pas plus que vous sur les vaccinations, ayant eu le même raisonnement : que l’on n’a pas à remettre en cause des dogmes si bien enracinés !

Si vous n’avez rien d’autre donc à amener, il est inutile de venir discuter ! Ici tout ce que vous allez lire est étayé des sources desquelles ces faits ont été puisés. Alors faites-en autant !

 

DOSSIER INTERDIT: LA VACCINATION - LE NOUVEAU SCANDALE MEDICAL! N°3 LA COQUELUCHE

 

La coqueluche fut le nom donné au XVe siècle à une sorte de grippe pour laquelle les malades se couvraient la tête d'une « coqueluche » ou « capuchon ».

Cette maladie est due au bacille de Bordet et Gengou découvert en 1906 : Bordetella Pertussis. Ce bacille est peu résistant, il est tué à 55°. C'est la toxine qu'il contient qui provoque la maladie.

La coqueluche s'observe surtout entre 2 et 5 ans, elle est exceptionnelle au-dessus de 12 ans. Une première atteinte, dans l'immense majorité des cas, donne l'immunité, les cas de récidive sont tout à fait exceptionnels. La déclaration de la maladie n'est plus obligatoire depuis 1986.

La coqueluche est surtout sérieuse chez le très jeune enfant (avant 2 ou 3 mois) qui risque de s'étouffer à cause des glaires obstruant souvent la gorge. Elle devient grave s'il y a surinfection, fièvre élevée en association avec d'autres maladies comme la tuberculose, une otite, ou une bronchopneumonie.

Chez le nourrisson, la violence de la toux peut amener la formation de hernies, des saignements de nez. Après une quinte asphyxiante, il peut survenir une apnée avec cyanose (le visage devient bleu). Il faut débarrasser l'enfant des mucosités pouvant entraîner des vomissements fréquents. En outre, la langue projetée incessamment sur les incisives est souvent ulcérée au niveau du frein. Enfin l'épuisement de l'enfant peut provoquer des risques de « fausse route » avec étouffement par passage de la salive ou des aliments dans la trachée.

Il faut bien aérer la chambre du malade, ne pas trop la chauffer (18°) et donner une nourriture normale. On préconise l'altitude, montagne ou avion, ou tout changement d'air susceptible d'arrêter très rapidement les quintes. Un caisson à dépression avait été mis au point et utilisé dans les années cinquante avec succès. Respirer l'odeur des pins est bénéfique aussi. Il faut éviter l'hospitalisation : elle terrifie l'enfant, et par réaction elle aggrave les symptômes (Le bacille peut être présent dans le corps, en général, il l’est, et ne jamais avoir la possibilité de s’exprimer ! Il n’est pas inutile de rappeler que la coqueluche est une maladie à caractère psychosomatique qui survient souvent lors d'une crise affective, car celle-ci abaisse brusquement le niveau du S.I. (Système Immunitaire) veillez donc à fournir à votre enfant, un amour constant, malgré ses bêtises quotidiennes). Il est recommandé d'asseoir l'enfant au moment des quintes et de mettre une bouillotte chaude dans le dos pour calmer la toux.

Divers traitements peuvent être utilisés en médecine douce : les plantes (infusion de lavande, drosera, serpolet, coquelicot, thym...) ou les oligo-éléments (magnésium, cuivre, cuivre/or/argent...). Il faut surtout maintenir l'enfant dans une atmosphère calme. Dans ces conditions la coqueluche n'est qu'un mauvais moment à passer. Les parents ont tendance à s'affoler lorsqu'ils voient leur enfant secoué par les quintes qui l'épuisent. (Attention à vos réactions ! Votre enfant les interprêtent toujours de manière correcte mais sans nuances.) L'affolement ne contribue qu'à insécuriser l'enfant. Garder son sang froid c'est aider l'enfant à surmonter cette épreuve.

Les premiers vaccins ont été introduits en France en 1959 et alors intégrés au calendrier vaccinal.

Il existe un vaccin « entier » constitué de suspensions bactériennes de Bordetella Pertussis inactivées par la chaleur. Il est commercialisé sous plusieurs formes en France et souvent associé à d'autres antigènes vaccinaux (Vaxicoq, DTcoq, Tétracoq, DTCP, Pentacoq tous produits par les laboratoires Mérieux).

C'est pour pallier les inconvénients de ce vaccin entier que les laboratoires se sont lancés dans la mise au point d'un vaccin moins réactogène. La concurrence est rude et les principaux fabricants mondiaux se disputent le marché. (Le marché se chiffrant à des milliards de dollars, tous les coups sont permis).

Un vaccin acellulaire (c'est-à-dire qui ne contient pas la bactérie entière mais seulement des fragments antigéniques) a ainsi fait son apparition. Plusieurs pays ont développé divers types de vaccins acellulaires, dans lesquels la toxine est inactivée par différents procédés chimiques ou bien synthétisée après mutation par génie génétique.

 

« L'efficacité du vaccin ne peut être considérée comme acquise », reconnaît LE NEW ENGLAND JOURNAL OF MEDICINE (vol 331-1994-p.l6).

 

L'efficacité du vaccin entier est donc loin d'être prouvée et la coqueluche reste endémique dans certaines régions malgré une couverture vaccinale importante, dépassant parfois 95 %. Ces faits sont constatés par le Dr Gordon Stewart, chef du département de médecine sociale à l’Université de Glasgow (Ecosse).

 

Dans la revue MEDECINE ET HYGIENNE du 21 février 1979, il déclare : « Maintenant,à  Glasgow, 30 % des cas de coqueluche se produisent chez des sujets vaccinés  ».( VOIR : IN MÉDECINE ET HYGIÈNE DU 21 FÉVRIER 1979.)

 

Des épidémies se sont même déclarées dans des populations à couverture vaccinale très élevée (entre 81% et 91%) comme ce fut le cas en Afrique du Sud en 1988-1989 (CF. J. TROP. PEDIATR. VOL 37, 1991). Le journal précise en outre qu'entre 1992 et 1993 le nombre de cas de coqueluche a doublé aux États-Unis, ce qui a amené les autorités à s'interroger sur l'utilité de ce vaccin.

 

LE BRITISH MEDICALJOURNALOFMEDICINE, n° 19 de 1995, mentionne des flambées épidémiques dans les pays où s'est généralisée la vaccination, entraînant l'apparition de formes atypiques auxquelles on donne le nom de toux coqueluchoïde ou bronchite asthmatiforme. De son côté, LE QUOTIDIEN DU MÉDECIN DU 5 JANVIER 1994, signale que des élèves ont été contaminés par des camarades vaccinés. Quant au LANCET de novembre 1997 (vol.350), qui publie les résultats d'une importante étude randomisée (en double aveugle) effectuée en Suède et concernant divers vaccins anticoquelucheux tes­tés sur 82.892 enfants, il conclut : « L'incidence d'effets indésirables liés au vaccin acellulaire a été plus élevée qu’on ne le pensait au vu des précédents essais. »

 

Ces données font dire À FRANÇOISE JOËT, PRÉSIDENTE DE L'ASSOCIATION ALIS (ASSOCIATION LIBERTÉ INFORMATION SANTÉ), DANS LE COURRIER D'ALIS N°21 DE JUIN-JUILLET-AOÛT 1998 : « Nous remarquerons dans l'article du Lancet que les chercheurs sont surpris et déçus de voir que les derniers nés des vaccins ne sont pas meilleurs que les anciens. Leur perplexité nous fait sourire : enfin ils se posent les vraies questions ! Reconnaître qu'on ne peut pas éviter les accidents vaccinaux c'est faire un constat d'échec. On a commencé à vacciner en se basant sur des erreurs auxquelles sont venus s'ajouter la simplification mentale et le réductionnisme, alors qu’au fur et à mesure des découvertes en immunologie, les mécanismes immunitaires se complexifiaient et bouleversaient les connaissances fragmentaires de l'époque pasteurienne. Dans cette étude, le suivi n’a duré que 22 mois. Quelles surprises réservent ces vaccins sur le long terme ? (FRANCOISE JÖET IN « LE COURRIER D’ALIS», N°21 DE JUIN-JUILLET 1998).

 

Le vaccin anticoquelucheux a fait disparaître les symptômes de la maladie qui, aujourd'hui, n'existe presque plus sous sa forme habituelle, mais du même coup, il a fait apparaître des formes différentes de la maladie qui atteignent les adultes et les adolescents avec plus de gravité, la plupart du temps. La coqueluche est devenue une maladie de l'adulte. Qu'a-t-on gagné à ce jeu ?

Quant à l'efficacité du vaccin acellulaire, il est trop tôt pour se prononcer car le recul n'est pas suffisant pour juger. D'ores et déjà, nous savons que rien n'est probant, tout particulièrement au Japon où six types de vaccin acellulaire sont utilisés depuis 1981. C'est ce que reconnaît, dans Panorama du médecin du 6 juin 1994, le Dr Grimpel, spé­cialiste de la coqueluche :

«L'expérience montre que la prévalence de la coque­luche a diminué sous l'effet de ces nouveaux vaccins. Mais le degré d'efficacité reste cependant difficile à préciser : l'âge des enfants vaccinés s'est modifié au cours des années et surtout on ne sait pas quelle souche a été utilisée. On est donc incapable de savoir parmi les six vaccins celui qui protège vraiment. »

 

D'après le Guide des vaccinations de la Direction générale de la santé, le vaccin contre la coqueluche est le plus réactogène des vaccins de l'enfance.

 

Selon UNE RÉCENTE ÉTUDE ANGLO-SAXONNE DU CHURCHILL HOSPITAL D'OXFORD, l'augmentation importante de l'asthme (qui a doublé en France depuis vingt ans avec 3 500 décès annuels) est davantage liée aux vaccins (BCG, coqueluche et rougeole) qu'à la pollution.

 

Mais on ne fait jamais état de ces décès en incriminant les vaccinations. Et dans une étude comparative entre deux cent quarante-trois enfants vaccinés et deux cent trois enfants non vaccinés,

 

LE DR MICHEL ODENT signale une fréquence de toutes maladies, particulièrement otites et crises d'asthme, chez les enfants vaccinés. Il en conclut que les enfants vaccinés courent moins de risques d'attraper la coqueluche mais que les enfants non vaccinés sont en meilleure santé ( CF. THE LANCET N° 344, 1994 ET JAMA N° 272, 1994).

 

Le plus dangereux des vaccins de routine_

Le Journal de pédiatrie n° 4 (1989), Le Généraliste du 26 février 1977, le British MedicalJournal n° 282 (1981) et Jama vol 271 (1994), s'accordent pour témoigner que le vaccin anticoquelucheux est reconnu par tous les spécialistes, comme le plus dangereux de tous les vaccins de routine administrés aux enfants, en raison, essentiellement, des complications neurologiques qu'il induit : convulsions fébriles, atteintes cérébrales permanentes entraînant l'arrié­ration mentale, encéphalites avec séquelles bénignes ou graves, épilepsie, lésions neurologiques chroniques.

 

LE GÉNÉRALISTE affirmait : « On peut estimer que la vaccination contre la coqueluche est aussi dangereuse que celle contre la variole. »

 

Si les accidents neurologiques sont les plus voyants, donc les plus connus et les plus redoutés, ce ne sont pas les seules complications de la vaccination. Pour la plupart, les réactions indésirables sont dues aux endotoxines du vaccin.

 

D'après la revue suisse MÉDECINE ET HYGIÈNE DU 26 OCTOBRE 1994, le vaccin entraîne dans 30 à 50 % des cas, une réaction inflammatoire au point d'injection, avec douleur, chaleur et œdème ainsi qu'une réaction générale fébrile (40°), susceptible d'induire une convulsion. Les effets indésirables peuvent être présents dès la première injection, mais ils sont surtout fréquents lors des rappels.

 

On signale aussi des atteintes cardiaques, des troubles gastro-intestinaux, des épisodes d'hypotonie, des pleurs anormaux qui traduisent une souffrance prolongée au niveau du cerveau, des infections bactériennes mortelles, des syn­dromes de Reye, des spasmes (Cf. Jama vol 19 - n° 284 - 1984 - éd. française).

 

De fortes présomptions pèsent sur le vaccin en ce qui concerne son rôle dans le syndrome de la Mort Subite du Nourrisson. Ces décès dramatiques font l'objet de nombreuses études actuellement (Cf. Dr George Dick, Practi Immunization, MTP Press, Lancaster 1986).

 

En janvier 1983, une étude de l'Ecole de médecine de UCLA menée par l'Administration de la Santé du comté de Los Angeles et dirigée par le Dr Lary Barraf, fit apparaître que 53 des 145 victimes du Syndrome de Mort Subite du Nourrisson avaient reçu le vaccin D.T.Coq. Sur les 53 nour­rissons, 27 avaient été vaccinés dans les 28 jours précédant le décès, 17 dans la semaine et 6 dans les 24 heures avant le décès.

 

Avec son confrère le Dr Glen Dettmann, le Dr Archie Kalokerinos, du Biological Research Institute of Australia, a découvert un lien évident entre la déficience immunologique provoquée par la vaccination et le syndrome de la mort subi­te et inexpliquée du nourrisson. Il raconte ses expériences, qui furent l'objet de moquerie de la part de ses pairs, dans son livre Every second child, publié aux États-Unis en 1974. En 1970, le Dr Archie Kalokerinos avait réussi à inverser la mortalité infantile de la population aborigène dans le bush australien en différant les vaccinations.

Les deux médecins étaient même parvenus à faire sor­tir des enfants du coma « inexpliqué » après vaccination en administrant un complément de vitamine C naturelle aux enfants mal nourris qui présentaient un grave déficit de cette vitamine, aggravé par toute vaccination. Pendant deux années de soins attentifs, aucun enfant ne mourut et le taux record de mortalité infantile s'effondra.

 

Le 24 mai 1987, le Dr Kalokerinos a lancé un cri d'alarme dans le journal Sunwell Tops au sujet de ce vaccin : « Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. [...] Il est responsable d'un grand nombre de mortalités et d'un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. »

 

Après des années d'observation, l'australienne Viera Scheibner a mis au point, avec l'aide de son mari ingénieur, un appareil de monitoring capable de surveiller la respiration des nourrissons afin de prévenir la mort subite.

 

Dans son livre Vaccination (Cf.Vaccination, Viera Scheibner, éditions Schesoner), publié en 1993, elle a apporté la preuve de la responsabilité du vaccin DTCoq dans ce syndrome.

 

En France, ce vaccin est systématiquement innocenté. On se souvient de l'émoi provoqué, en 1986, par le décès le même jour de cinq bébés, peu après la première injec­tion de tétracoq. Les lots avaient été incriminés et ensuite retirés du marché, mais le vaccin était sorti blanchi. Bien que ce syndrome demeure en partie inexpliqué à ce jour,

 

Il est indéniable que l'acte vaccinal représente un facteur pri­mordial de déclenchement de l'arrêt respiratoire. A ce sujet, le Pr. R. Bastin écrivit dans Le Concours médical du 1er février 1986 : « Nous retrouvons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccina­tions. Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l'organisme. »

 

En réponse à la demande d'un confrère concernant les vaccins et la mort subite du nourrisson, le Dr P. Touze osa cependant écrire : « Je crois qu'il faut cesser d'incriminer les vaccins dans la survenue de la mort subite inexpliquée du nourrisson. C'est mauvais pour le moral de la population vaccinée... et pour celui des vaccinateurs. »

 

(Il n’y a qu’en France où les labos se soucient du moral des vaccinés et des vaccinateurs ! Mais pas des effets de leurs produits ! le pays du vaccin, c’est sacré).

 

Cette lettre, publiée dans Le Concours médical du 25 mars 1995, montre bien l'état d'esprit qui règne chez certains médecins, pour lesquels il est sans doute préférable de laisser mourir quelques nourrissons plutôt que de saper le moral des vaccinateurs !

 

(Pourquoi ? Parce que les vaccinateurs sur le terrain, sont dans 99% des cas, certains de commettre un acte médical d’une grande importance sur la santé, alors qu’ils ne sont que le glaive et les responsables sur le terrain de ce qu’attend l’industrie pharmaceutique d’eux, ils sont utilisés comme des marionnettes car n’ont aucune connaissances des faits que je vous indique ici).

 

Mais la France n’est pas le centre du monde, iI suffit de rappeler l'attitude des autres pays face à la vaccination anticoquelucheuse pour comprendre le danger de ce vaccin.

 

Le 3 novembre 1973, la revue française La Gazette médicale avouait : « C'est parce que le risque d'accident neurologique post-vaccinal est plus élevé que celui de mort ou de dommages encéphalopathiques dus à la coqueluche elle-même, que les Suédois et les Allemands ne préconisent plus cette vaccination et que le Pr. Gordon Steward multiplie les communications et les interventions pour qu’on n 'y expose plus les bébés anglais.»

 

Mais les bébés français n'ont pas la chance de bénéficier des mêmes mesures de protection !

 

Les allemands ont finalement supprimé de leur calendrier vaccinal la vaccination généralisée contre la coqueluche. Pour eux, la régression de la coqueluche n’a rien à voir avec la vaccination qui présente plus de dangers que la non vaccination. Le professeur Ehrengut, qui étudie les complications de la vaccination depuis 35 ans, pense qu'elles sont largement sous-estimées (Quick-Nachrichten n° 51 du 11 décembre 1975).

En Grande Bretagne, en 1976, les parents d'enfants gravement handicapés par le vaccin, menèrent des procès retentissants pour réclamer des indemnisations. Le gouvernement accorda une indemnité forfaitaire de 10.000 livres aux victimes invalides à plus de 80 %, indemnité à laquelle devait succéder un versement d'indemnités régulières. Mais, comme le signale The Sunday Times du 21 juillet 1985, Mme Thatcher, alors premier Ministre, ne donna pas suite au projet et la Cour Suprême estima que les pressions des parents n'étaient pas justifiées.

(Depuis, ces enfants pour la plupart sont morts, les quelques survivants traînent leurs guêtres dans des centres de malades mentaux plus ou moins laissés à la charge de collectivités locales, quel gâchis humain quand on sait à qui profite le crime) !

 

Au Japon, l'introduction en 1947 du vaccin anticoquelucheux avait induit un tel nombre d'accidents qu'il fallut créer un fonds spécial d'indemnisation, ce qui porta tellement atteinte au crédit de la vaccination, (qui pour une fois ne pu pas être endigué par les labos) laquelle fut suspendue en 1975 (Cf. Pediatr. Infect. Dis. J. - vol 9, n° 10, 1990)

 

L'acceptabilité du vaccin avait tellement diminué qu'il fut jugé nécessaire d'introduire un nouveau vaccin, dit « amélioré », pour rassurer les parents. Un vaccin « acellulaire » est aujourd'hui administré aux enfants entre 2 et 4 ans. Néanmoins, les demandes d'indemnisation qui ont été signalées (11 demandes en 9 ans), sans compter les cas non déclarés, prouvent que le vaccin acellulaire n'est pas plus sûr que l'autre.

 

Cependant, en différant la vaccination contre la coqueluche après l'âge de deux ans, les japonais ont consta­té une baisse très importante de la mort subite et inexpliquée du nourrisson, ce qui prouverait bien que le vaccin joue effectivement un rôle dans le syndrome (Cf. J. D. Cherry, « Pertussis Vaccine Encephalopathy », Jama, 1990).

 

Aux Etats-Unis, les premières observations d'effets secondaires graves ont été publiées en 1947.

 

En 1982, le pro­gramme de vaccination a connu une crise, à la suite de la publication du livre A shot in the dark (Cf. A Shot in The Dark, Harris Coulter et Barbara Loe Fisher, Avery Publishing Group, 1991) et d'une série d'émissions de télévision intitulées : « Dtcoq : la roulette russe ». Ces émissions, réalisées sous l'égide d'une association de parents de victimes, eurent un fort impact sur le public qui découvrait l'envers du décor.

 

(Autant vous dire que ce genre d’émissions n’est pas prête de voir le jour en France, ni même à nouveau aux USA, les labos ayant réagis pour que ce genre de « bévue » n’ait plus jamais la possibilité d’exister).

 

Des centaines de plaignants allaient réclamer des indemnités aux fabricants de vaccins. C'est alors que le gouvernement décida de voter un décret d'indemnisation, aujourd'hui très imparfaitement appliqué.

 

D'après Trevor Gunn, médecin anglais, auteur notam­ment de Mass immunisation - A Point in question, lors d'une baisse de la vaccination contre la coqueluche en 1982 et l'apparition simultanée de quelques cas, les officiels de la Santé du Maryland aux Etats-Unis avaient conclu à une épidémie de coqueluche à virus sauvage (Trevor Gunn, The International Vaccination Newsletter, mars 1996, Belgique).

 

Cependant, J. Anthony Morris, bactériologiste au Walter Reed Army Institute of Research, expert en maladies d'origine bactérienne et virale à l'université du Maryland, a analysé ces cas. Dans le Maryland, cinq sur quarante et un furent confirmés comme cas de coqueluche, les cinq sujets ayant été vaccinés. Même constat dans le Wisconsin, où les seize cas confirmés concernaient, de nouveau, des sujets vaccinés (Cf. The International Vaccination Newsletter - décembre 1995).  

 

Voilà de nouvelles constatations qui démontrent, s'il était encore nécessaire, que le danger de contagion vient des vaccinés et non de ceux qui refusent ces vaccinations.

 

En Suède, la baisse de mortalité due à la coqueluche n'a pas été modifiée par l'introduction du vaccin mais, lorsque celui-ci fut retiré à cause de ses effets secondaires, le taux de mortalité n'en continua pas moins de baisser.

 

C'est en 1979 que ce pays a abandonné la vaccination contre la coqueluche, pour deux raisons. D'abord parce que des épidémies survenaient parmi les populations parfaitement vaccinées, ensuite à cause des nombreux effets secondaires dus au vaccin, particulièrement les atteintes cérébrales (Cf.British Med. Journal, vol 320, n° 2, 1967).

 

Des publications, la plupart en anglais, ont évoqué les effets nocifs du vaccin anticoquelucheux : elles sont suffisamment nombreuses pour que le lecteur s'interroge sérieusement sur la validité d'une telle vaccination face à une maladie infantile bénigne.

 

Le Pr. Marc Gentilini, président de l'Association pour la promotion de la médecine préventive, écrivait à ce sujet en 1987 : « Je ne vois pas très bien quels progrès majeurs il y aura en l'an 2000 si l'on continue de la sorte. »

Et comme le souligne le journal Vous et votre santé dans son numéro spécial sur les vaccinations : « Face à de nombreux pays européens, la France reste un paradis vaccinal. C'est un des derniers bastions avec le Portugal, l'Italie et la Belgique des vaccins obligatoires. Il faut espérer que nous rejoindrons le plus tôt possible les peuples libres d'effectuer leur propre choix en matière de vaccination. »

Nous n'en prenons guère le chemin, bien au contraire, considérant le durcissement de la politique vaccinale en France!