NON, les médecines modernes ou douces ne soignent pas le stress et l'angoisse

SOIGNER LE STRESS

En tant que Naturopathe Holistique, je soigne d'abord mes patients stressés comme un « naturothérapeute ». C’est à dire que je leur donne, en produits naturels, une médecine « d'urgence » pour stopper « provisoirement » les effets néfastes, ce qui correspond exactement à ce que fait leur médecins traitants en leur donnant des médicaments qui ont malheureusement beaucoup d'effets secondaires, quoique le Millepertuis (et d’autres plantes) ne soit pas anodin.

Mais il faut savoir que l’essentiel du traitement de fond des personnes stressées n’est absolument pas, dans la prise de médicaments, ou de plantes, ou d’H.E ou de toute sorte de pratique de santé naturelle telle que je les pratique moi-même également.

Notre patient, une personne stressée, deviendra ou est déjà une personne angoissée, si cela dure trop longtemps, cela se transforme en dépression légère qui si non soignée, deviendra une véritable dépression alors très difficile à endiguer.

Arrêtons les traitements allopathes ou naturopathes ! Ils ne soigneront pas la personne sur le long terme, si elle arrive à aller mieux, cela ne sera que provisoire, pour une courte durée, et le spleen Baudelairien remplira à nouveau la coupe, et quand la coupe est pleine...

C’est d’un traitement psychothérapeutique dont la personne a besoin, qu’elle ne se dirige pas chez un psychiatre (chargé de traiter les maladies mentales) ni chez un psychologue (inapte à prodiguer ce genre de soins) mais chez un psychothérapeute (si la personne est du genre business people, marketing, extravertie) ou chez un naturopathe Holistique (si la personne est une personne du genre artiste, introvertie). Bien que le but soit le même, le chemin est différent est correspond à un genre de patient complètement différent aussi.

POURQUOI LES TRAITEMENTS MÉDICAMENTEUX OU NATURELS 

NE MARCHENT PAS A LONG TERME ?

Même si on connait de mieux en mieux les processus des neurotransmetteurs qui nous diffusent tantôt de l’adrénaline, tantôt de la dopamine etc… il ne faut jamais perdre de vue qu’ils sont eux-mêmes soumis à notre « pensée secondaire » celle qui connecte nos sens, notre monde intérieur, au monde extérieur, et que cette pensée secondaire est tributaire de notre «pensée primordiale », celle de notre attitude et comportement général.

La pensée secondaire est très difficilement contrôlable, parce qu’on y pense pas, elle est souvent négative si on n’a pas appris à son sujet, et alors ses résultats sont souvent désastreux, l’exemple de la colère est flagrant, il suffit d’aller dans les tribunaux et voir ses Êtres Humains au banc des accusés, avachis, abattus parce qui leur « tombe » dessus et qui ont souvent comme réponse : « je ne sais pas ! », on appelle ça vulgairement « péter les plombs », la pensée secondaire incontrôlée à émis un neurotransmetteur tel que l’adrénaline, qui se répand transportée par le sang en une second dans les muscles qui se chauffent physiquement et on besoin de lâcher leur énergie soudainement accumulée, comment alors se contrôler ? Et si on pense à se contrôler que faire ? respirer à fond plusieurs fois par seconde ? Marcher rapidement ? Tourner sur soi-même ? Frapper un objet inanimé ? Bref, très difficile ! Et ceux qui disent : « Apprenez à vous contrôler ! » ne comprennent pas ce qui se passe réellement, surtout quand c’est devenu un comportement au quotidien.

La pensée primaire par contre, elle, est facilement contrôlable, mais cela demande une éducation longue, cela dépend des sujets, mais là encore il faut être conscient de son existence. C’est Krishnamurti qui disait : « Connaitre le problème le résout déjà à 80%, le reste est une question de temps ».

Or la pensée secondaire n’a pas d’épaisseur, elle est vise, elle est tributaire de la pensée primordiale, une fois que cette pensée aura été façonnée, la seconde le deviendra aussi puisqu’elle en est directement le reflet.

Cela peut se comparer à cristal posé sur un tissu rouge, il est rouge mais il est directement tributaire du tissu sur lequel il se pose, changer le tissu, mettez-en un vert, changez le comportement, mettez le en vert, c’est la même chose.

Exemple : traitez une personne paisible, en harmonie avec elle-même, de tous les noms ! Il y a fort à parier qu’elle ne réagira pas et vous regardera avec compassion avec cette pensée secondaire : « Cette personne est malheureuse pour être aussi en colère ».

Sans oublier que ces évènements du monde extérieur que nos pensées secondaires  contrôlent si bien désormais, inter-acte avec notre comportement général, notre pensée primordiale sur nous même et nous prouve que c’est bien, si c’est bien alors de la dopamine supplémentaire se fait, et c’est le cercle vertueux qui se met en marche, la pensée primordiale va se renforcer dans sa positivité, utilisant le chemin vers les pensées positives.

Cette façon de voir et de soigner fait partie d’études  spirituelles que l’on peut retrouver dans différentes cultures et datent de plusieurs millénaires. C’est La Bruyère qui disait : « Tout est dit depuis plus de quatre mille ans… » Et ces relations complexes sont maintenant expliquées physiquement par la découverte dans le cerveau d’une part, d’un lieu des pensées négatives et d’un autre lieu éloigné du premier, centre de pensées positives, et d’autre part, de l’inter-réaction des neurotransmetteurs les uns sur les autres. On retrouve exactement la même finalité mais les voies sont complètement différentes et pourtant absolument parallèles dans leur cheminement.

Un autre problème très grave, complètement ignoré actuellement des développements habituels du stress et de l’angoisse :

ORIGINE DU CANCER

Il ne faut pas non plus se voiler la face au sujet de la provenance « exclusive » des cancers qui n’ont qu’une seule et unique provenance : le stress et l’angoisse. Il n’existe en réalité qu’un seul cancer qui se développe différemment suivant les cellules différentes des organes différents mis en causes!

Lorsque je fais scandale quand je dis que le tabac ne donne pas le cancer, on ne me lit pas bien et pas jusqu’au bout, il faut une bonne dose de bon sens pour me suivre, malheureusement on en manque curieusement et cruellement de nos jours.

Nous possédons un système immunitaire qui nous défend, une véritable barrière contre les maux, la maladie… le «mal à dit », oui, être malade est une tentative d’explication de notre «moi intérieur » notre « âme » notre « nature de l’esprit », n’importe quel mot pour désigner la même chose, c’est donc à l’intérieur qu’il faut agir, et d’autre part,  toute diminution de notre système immunitaire est une opportunité pour être attaqué, mais ou ? Regardez la nature, « les Causes et les Conditions donnent des Conséquences » (loi universelle).

D’un terrain marécageux et des moustiques, qui croyez-vous était là le premier ? Ce ne sont pas les moustiques qui ont fait le terrain. C’est la même chose dans notre corps, si vous avez un terrain adéquat, dégradé, nauséabond qui pourri,  une maladie se fixera sur ce terrain. Tout est question de terrain.

Vous êtes stressé et angoissé, ce sont les éléments essentiels pour le développement des cancers, si vous fumez un peu et que vous êtes un « bon » (est-ce le bon mot) vivant,  que vous mangez 1 kilo de barbaque par jour en buvant 3 litres de pinard, il n’y a pas de secret, vu la qualité et la quantité de nourriture ingérée, les pesticides, les produits chimiques, et le tabac, la prolifération anarchique de cellules se fera dans l’endroit le plus pourri de votre organisme ! Pas les bronches mais les intestins.

Si vous êtes hyper stressé et hyper angoissé, que vous avez eu des poumons fragilisés au paravent, beaucoup d’angines, de grippes, de bronchites, ou alors vous êtes sujet à l’asthme, toutes ses infections dues à un mauvais système immunitaire mis à mal par les vaccinations enfantines, il faut oser le dire, et bien il y a de fortes chance pour que vous attrapiez un cancer des poumons, votre terrain faible ! Alors fumeurs, arrêtez de dire : « je connais quelqu’un qui a eu un cancer des bronches alors qu’il ne fumait même pas, ha ha ha ! »

A moins que vous fassiez beaucoup de sport, de travaux des champs, respiriez au grand air, ou du yoga et de la connaissance du « prâna », si vous êtes stressé, votre terrain faible sera quand même vos poumons !

Comprenez bien que le cancer est le même partout et qu’il se fixe la où c’est le plus facile, votre plus mauvais terrain, bien sûr. Et comme chaque endroit à sa spécialité, les cellules cancéreuses des poumons ne seront pas les mêmes que celles résultant des polypes sanglant intestinaux.

Ce que la médecine moderne appelle les « différents cancers », et les fameuses « métastases » ne sont en fait qu’une nouvelle attaque sur un nouveau terrain, parceque rien a été fait pour supprimer le stress et l’angoisse ! Lorsque vous avez eu la chance de pouvoir éradiquer  en général par une ablation ou de la chimio le cancer de votre terrain le plus mauvais, vous n’avez pas supprimé votre angoisse ? Vous n’avez donc fait que repousser le problème dans le temps !

Parler de métastases signifie donc  cacher le vrai problème ! Nous sommes souvent traités de charlatan par les pontes de la médecine moderne, mais quand on vous dit que des cellules cancéreuses se détachent et s’en vont se ballades au grès du flux sanguin (comme des morceaux de bois sur un fleuve) et que par hasard, elles se retrouvent d’un grain de beauté mal géré situé sur le pied gauche au poumon droit ! On a de l’imagination fertile chez les allopathes ! (imaginez que ce morceau de bois s’est fixé sur un autre arbre, en aval, ou en amont, peu importe d’ailleurs !! et dans un fleuve différent aussi !).

Bref, en résumé, ne restez pas stressé à vous soigner à coup de médicaments ou de produits naturels, soignez directement votre stress et vos angoisses qui viennent directement de votre mauvaise façon de penser, plus  vous attendez, plus vous creusez et élargissez le chemin vers les pensées négatives dans votre cerveau, plus le temps passe, plus ce chemin vers les pensées négatives sera facile à prendre, et plus le chemin perdu des pensées positives va devenir difficile à emprunter par manque d’exercice !

Une expérience canadienne à révélé il y a quelques années pour la première fois les endroits de ces pensées dans le cerveau, cette expérience réunissait d’un côté 50 patients mal dans leur peau, dépressifs, de l’autre 50 personnes en harmonie avec elles-mêmes, religieuses ou moines qui avaient plus de 40.000 heures de prières ou de méditation.

Aux mêmes questions et pose de problèmes, il y avait des chemins distincts activant certaines zones de cerveau qui ont démontré ou se situaient les pensées négatives et celles positives.

Beaucoup d’autres expériences ont démontrées que les gens « croyant » en « quelque chose » et pratiquant la prière et la méditation, sortaient plus facilement d’états dépressifs par rapport aux patients qui ne croient en rien !