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Sommeil: l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tard !

Blog de : cbesnou

Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt, prétend un dicton populaire. Pas si sûr. Selon une étude menée par des chercheurs belges, suisses et français, et publiée dans la revue Science, lève-tôt et couche-tard ont des performances comparables le matin, mais en fin de journée les couche-tard sont plus alertes et plus attentifs.


Les personnes qui se lèvent tard restent plus longtemps alertes que celles qui sont matinales avant de ressentir une fatigue cérébrale.
Le cerveau agit différemment pour maintenir l’attention au cours de la journée, selon que l’on soit lève-tôt ou que l’on sorte du lit plus tard, ont découvert des chercheurs de l’Université de Liège en Belgique. Cette différence est plus marquée en fin de journée.
Les chercheurs ont utilisé l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour suivre l’activité du cerveau de 16 personnes qui se couchent et lèvent tard et de 15 autres qui ont des habitudes de sommeil à l’opposé. Les sujets ont dormi deux nuits consécutives en laboratoire, où ils devaient exécuter périodiquement des tâches demandant une attention soutenue. Ils se levaient et se couchaient selon leur rythme habituel.
Après 1 h 30 d’éveil, les sujets des deux groupes avaient le même niveau de performance et d’activité cérébrale. Par contre, après 10 h 30 d’éveil, les lève-tôt présentaient une baisse d’activité plus marquée que les couche-tard dans les zones du cerveau liées à l’attention. Ainsi, les lève-tôt résistent moins bien à la « pression de sommeil », qui équivaut au temps passé depuis le réveil.
Selon les chercheurs, l'éveil est le résultat de deux mécanismes. D’une part, le processus homéostatique, c’est-à-dire « notre propension au sommeil qui augmente au cours de la journée et qui disparaît au cours de la nuit ». D’autre part, le rythme circadien qui détermine le cycle veille-sommeil, c’est-à-dire le moment où nous ressentons l’appel de Morphée et celui où notre corps veut se réveiller et se remettre en action. Les niveaux de concentration et d’attention que nous arrivons à maintenir durant la journée sont le fruit de l’opposition entre ces deux processus.

Que se passe-t-il exactement ? À l’origine ?
Ce résultat surprenant n’est pas si étonnant que cela, quand on connait d’autres critères dans d’autres domaines. Je vais vous expliquer pourquoi ce résultat n’est, en fait, que la conséquence en chaine d’autres éléments dont il faut tenir compte.
Notre journée terrestre se compose de 24h, à mon grand regret, et vous allez savoir pourquoi. Depuis tout petit, je trouvais que les journées n’étaient pas assez longue, alors que d’autres s’endormaient dans les bras de Morphée dès le couché du soleil !
Quand j’ai commencé à étudier la question, j’étais d’avis qu’il y a des personnes diurnes et d’autres nocturnes, comme moi, d’ailleurs un de mes amis médecin, à ceux qui le consultaient pour insomnie disait : « le mieux pour vous, c’est que vous changiez de métier, travaillez la nuit ! Vous verrez que vous n’aurez plus de problèmes pour dormir ! » Ce qui la plus part du temps était impossible à réaliser. Quand cela a était possible pour certains, j’ai pu constater que la situation se révélait tellement difficile que la personne effectivement « décalée » était littéralement « crevée », oui, elle n’avait plus de mal à s’endormir mais à la longue montrait des symptômes de manque de sommeil.
Alors ou était la solution ? je l’ai découverte un peu par hasard quand j’ai décidé à une certaine époque de ma vie, sans obligations, sans besoins de travailler à heures fixes, je me suis laissé conduire par mon horloge interne pendant plus d’un an, et alors quelle ne fut pas ma surprise, je constatais assez rapidement que ma journée durait 29 heures, un peu gênant parceque je me retrouvais tous les 2 ou 3 jour à l’inverse du rythme jour et nuit.
J’en déduisis grâce à mon imagination débordante que je devais venir d’une planète où la journée devait être de 29h ! Mais atterrir sur la terre (sans pléonasme, la terre étant aussi la roche) devait avoir sa signification aussi, bref je revins à mes moutons pour en déduire que avec ma journée de 29h, j’étais efficace beaucoup plus longtemps que la plus part des gens, je pouvais me passer de manger pendant beaucoup plus longtemps sans éprouver de sensation de faim, quand je dormais, je pouvais aussi dormir 10 heures d’affilée sans ressentir d’avoir trop dormi, à 10ans je pouvais retenir mon souffle sans respirer pendant 3 minutes sans problème dans l’eau, et beaucoup d’autres conséquences que je pouvais enfin comprendre grâce à cette constatation de ma journée de 29h. Cela rejoint donc l’étude de ces chercheurs, au bout de 15 heures de travail de concentration, il n’y a pas de fatigue ressentie comme quelqu’un qui peut avoir une journée de 22 ou 23h, ma journée se déroulant ainsi globalement : réveil et petit déjeuner : 1h – travail 17 heures avec 1 heure de coupure d’un autre travail ou lecture de travail – repas 1heure – sieste 30 minutes – travail ou relaxation 3heures – sommeil 8 heures.
Comparer avec les horaires de quelqu’un qui a une horloge réglée sur 24h : réveil et petit déjeuner et transport au travail : 2h – travail 8h (avec 1h de coupure pour repas) - transport, relaxation, préparation repas 3h – repas 1h – relaxation ou travail 3h – sommeil 7 heures.
On constate que la plus grosse marge est bien dans le temps de travail.


Donc horloge de plus de 24 h -temps de concentration plus grand mais aussi - insomnies dues à notre journée non terminée.