Quand le moyen devient l'obstacle
Je ne puis m'empêcher de croire que toutes les grandes méthodes qu'on a inventées pour conduire à la dévotion ne soient cause que si peu de personnes trouvent et cherchent Dieu purement et en vérité... ou bien c'est après un si long temps que la plus grande partie de la vie se passe à les apprendre ! Et, après les avoir bien routinée, le plus souvent on voit ces pauvres âmes autant attachées à leur propre intérêt et au service de leurs appétits et passions, qu'elle aient jamais été. La raison, à mon avis, de leur défaut est qu'elles s'étudient


Que j'ai commencé tard à vous aimer, ô beauté si ancienne et si nouvelle ! que j'ai commencé tard à vous aimer ! Vous étiez au-dedans de moi; mais, hélas ! J'étais moi-même au-dehors de moi-même. C'était en ce dehors que je vous cherchais.
Mon état intérieur était toujours plus ferme et immobile, et mon esprit si net qu'il n'y entrait ni distraction ni pensée que celle qu'il plaisait à Notre-Seigneur d'y mettre ; mon oraison toujours la même, non une oraison qui soit en moi mais en Dieu, si simple, si pure et si nette. C'est un état et non une oraison, dont je ne peux rien dire à cause de sa grande pureté. Je ne crois pas qu'il se puisse rien au monde de si simple et de plus un.
On présente généralement
Le zen est souvent présenté en Occident comme une voie "en dehors des textes". Les maîtres zen apparaissent comme des excentriques anti-intellectuels. Pourtant, ce point de vue largement propagé par les japonais de l'école Soto ne reflète qu'une partie de l'héritage du zen. Il y a eu des maîtres zen érudits.
Y a-t-il un lien entre