Bodhidharma est mon représentant de la compréhension de la loi universelle et il a la tâche de m’enseigner son savoir à travers l’esprit du Zen dans l’art de la méditation.
L’inconscience de la science moderne actuelle est très souvent synonyme d’instinct et de chagrin. C’est pour cela qu’il faut déceler la véritable intelligence qui se trouve dans le cœur pour découvrir le bonheur. C’est simple comme bonjour, mais nous sommes toujours en train de nous référer à nos performances et nos connaissances qui sont souvent dépourvues d’une véritable expérience vécue avec le corps et le cœur.
La connaissance des mathématiques, aussi avancée soit-elle, ne permet pas encore de calculer le temps zéro ou le départ réel du cosmos, ni le lieu précis qui en réfère.
En laissant une petite place à la non-science et au non-agir, l’âme peut se révéler chez l’être qui désire connaître sa nature immortelle.
La vie sur terre est très courte si on la compare à l’échelle universelle. Nous sommes toujours en train de nous identifier comme natif de cette terre avec la mentalité d’un pays ou d’une région. L’américain d’origine européenne ou africaine est-il vraiment de racine de son continent d’origine ou a-t-il des influences propres à la terre et au lieu où il vit ? Certainement un peu des deux. Mais le plus important est-il son esprit conscient qui le lie à une mentalité locale, ou son corps et son âme qui puisent dans les ressources du ciel et de la terre ? Nous avons certes besoins des autres mais il y a peut-être des milliards et des milliards de milliards d’autres formes de vie dans l’univers qui méritent que nous les rencontrions.
Puisque je crois en l’immortalité de mon âme, je me dis que j’aurai ainsi certainement le temps de me faire des milliards d’amis dans le futur.