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Le mal est au service du bien

Blog de : Nicolas Chang

Dans l’histoire du christianisme on y apprend qu’une majorité de gens en voulaient à celui qui prêchait la vérité. Il n’y avait qu’une poignée de fidèles et ils ont pourtant pu transmettre leur message de paix à travers les générations, bien qu’ils fussent en minorité et souvent fortement persécutés.

De nos jours on retrouve le même phénomène à travers les médias. Il y a de temps en temps un intérêt pour la paix et très souvent des nouvelles à propos de ce qui ne va pas.

Il est beaucoup plus facile de choisir le côté sombre du monde, par le fait que son engrenage est invisible. Nous nous faisons absorber par l’envie de critiquer pour nous valoriser. C’est tellement naturel. Mais c’est aussi ce qui nous fait mal. Car à l’intérieur il y a cette résonnance qui rétablit la vérité. Tant qu’il y a la moindre notion de compétition entre des nations ou des êtres, la sérénité et la paix ne sont pas possibles. Cette fausse lumière que nous reflète la matière est néanmoins bonne puisqu’elle est le miroitement d’une lueur de l’au-delà.

Ceci dit, quelques bonnes paroles ont plus de poids qu’une masse de critiques.

La loi de l’évolution est aussi réelle que l’attraction ou le changement. Si cela était faux nous aurions déjà disparu. C’est cela le Dharma ! C’est la loi obligatoire de l’évolution et de l’éveil.

En marchant sur son propre chemin, l’être s’accomplit au fil du temps.

Tout ce que nous considérons comme mal est en réalité une chance pour l’évolution.

Il ne s’agit pas d’être illuminé et de sourire aux gens avec un air béat, mais de se sentir remplit par le sentiment de perfection qui existe à l’état latent chez chaque être vivant. A chaque inspiration de respiration consciente nous avons le choix d’être dans le sentiment de gratitude et c’est cela le secret fondamental du bonheur. Nous avons le libre arbitre et c’est ce qui fait que nous pouvons choisir notre destination.

Donnons-nous donc la peine de nous faire ce bien !

La seule souffrance que nous avons à nous infliger c’est celle d’ouvrir pleinement les narines, d’inspirer profondément et de dire merci. C’est simple mais nous l’oublions tout le temps car nous croyons toujours que le bonheur provient de l’extérieur. Chaque souffle est un don sacré qui provient de l’union du ciel et de la terre. La chance de l’être humain c’est d’avoir les pieds sur terre, la tête dans les étoiles et le cœur avec les autres.